1. Drôle de couple


    Datte: 10/04/2022, Catégories: fh, hplusag, couple, handicap, bizarre, Collègues / Travail amour, pénétratio, mélo, coupfoudr, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... commissaire-priseur de l’hôtel des ventes. Je le connais, nous assurons temporairement les objets qui transitent chez lui.
    — Très bonne idée. Vous le contactez ? Je vous donne carte blanche. Puis-je aller me rafraîchir ? Les gambas… c’est moins bon sans les doigts !
    — Vous connaissez les lieux.
    
    Je débarrasse la table, remplis le lave-vaisselle, mais Audrey ne revient pas. J’espère qu’elle n’était pas indisposée par un crustacé ou un poisson pas frais. Je m’avance dans le couloir et toque à la porte de la salle de bains :
    
    — Audrey ? Vous allez bien ?
    — Je suis là et je vais très bien, répond sa voix chaude venant… de la chambre.
    
    Elle est là, étendue sur le lit, nue à l’exception de ses bas et d’un porte-jarretelles de dentelle noire.
    
    — On reprend vite ses habitudes, s’excuse-t-elle. Dès la porte de cet appartement franchie, j’ai eu une incoercible envie de vous, de vous en moi.
    
    Je me déshabille à la hâte, mon sexe déjà dressé claque contre mon ventre tandis qu’elle poursuit :
    
    — J’avais bien remarqué que vous n’étiez pas insensible aux charmes qui me restent. Je ne voulais pas, pas tout de suite… Toujours peur de paraître « veuve joyeuse ». Mais ici ce fut plus fort que moi… Venez vite.
    
    Je m’allonge près d’elle, elle roule sur moi, me gratifiant d’un baiser aussi intense que long. Son bassin oscille, roulant sur mon sexe apoplectique. Puis elle se redresse, saisit ma virilité à pleine main et la place à l’orée de son intimité. Son puits est bouillant, ...
    ... bouillonnant d’une cascade de cyprine brûlante et douce. Elle se laisse doucement glisser jusqu’à sa base en gémissant :
    
    — Oooohh, dieu que c’est bon ! Pas un jour… vous m’entendez, pas un jour… je n’ai pensé à vous… désiré cet instant… (elle lâche ses phrases par bribes entre deux sursauts sur ma verge). J’ai appris votre mariage… Edgar lisait la presse… J’ai déprimé de nouveau… Je pensais vous avoir perdu à jamais… Et l’on ne publie pas les divorces… Quel bonheur de vous savoir libre… Comme je le suis heureuse… heureuse de vous retrouver… Enfin…
    
    De délicate et précautionneuse, sa chevauchée devient plus active, ne laissant plus de place aux paroles, puis frénétique, puis furieuse, puis folle. Sevré de ce plaisir depuis trop longtemps, j’explose en longs jets brûlants au fond de ses entrailles, au moment où son corps se tétanisait autour de son vagin contracté de spasmes. Elle retombe près de moi, essoufflée et luisante de sueur :
    
    — Ah mon amour, mon cher amour… Vous permettez que je vous appelle mon amour ?
    — Bien sûr, mon amour.
    
    Combien de fois ai-je rêvé de cet instant ? De ces instants… Que la vie est belle quand on peut enfin vivre ce que l’on a tant souhaité. Je suis… immensément heureuse. Je n’ai plus qu’un projet, qu’un but dans la vie : vivre avec vous, complètement, totalement. Et revivre ce bonheur chaque jour…
    
    — Voyons Audrey, je ne suis… rien. Rien qu’un petit chef d’agence d’un cabinet d’assurance, sans nom, sans fortune, sans… sans rien de ce à ...
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