1. Une inspection édifiante


    Datte: 28/03/2022, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, nopéné, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... allons faire appel à Chantal et à Viviane pour arbitrer. Elles n’ont rien vu encore, elles sont neutres. Tu es d’accord ? Dis-le !
    
    Personnellement, cette proposition me convient tout à fait. J’y vois l’occasion de jeter un œil objectif, certes, mais intéressé aussi, sur cette jeune intimité. Sandrine, elle, y voit une lueur d’espoir d’être innocentée. Elle accepte volontiers, pour déchanter aussitôt en entendant ta réponse.
    
    — OK. Elles vont regarder ton minou. Tu te souviens de comment était placée Déborah, tout à l’heure ? Va te mettre sur le fauteuil, comme elle.
    — Non ! Non, pas ça ! Je vous prie ! Madame, s’il vous plaît…
    — Il fallait avouer tout de suite, ma petite, vous n’auriez eu qu’une admonestation, explique sentencieusement sa patronne. Maintenant, il faut vous plier à cette épreuve. Et vous serez punie, en plus, si Chantal et Viviane nous confirment que vous avez menti.
    — Et, reprend-elle en te regardant, si nous demandions aussi à Déborah ?
    
    Une suggestion que tu juges excellente et dont tu remercies une Marie-Blanche ravie de cette nouvelle complicité.
    
    — Déborah est parfaitement habilitée pour ce genre d’examen, lui confies-tu dans la foulée. Vous êtes toujours de bon conseil, ma chérie ! Oh, pardon, excusez-moi cette familiarité.
    — Pas du tout, pas du tout ! Ma chérie, c’est très bien, merci à vous. La chère amie devient trop cérémonieuse entre nous… Ma chérie, s’enthousiasme Marie-Blanche, nous adoptons cette formule, n’est-ce pas ?
    — Bien ...
    ... sûr, bien sûr, l’assures-tu, j’en suis enchantée. Mais revenons à notre affaire. Déborah, réveillez-vous et venez ici ! Sandrine, en place, s’il te plaît. Chantal, j’ai deux mots à dire à Clémence, tu veux aider Sandrine ? Tu as l’habitude…
    
    Je souris à ton clin d’œil en prenant la main de Sandrine pour l’amener au pied de son échafaud. Car elle tremble comme une condamnée à sa dernière heure, la pauvre enfant. Et avec toujours ce ridicule réflexe de pudeur pour cacher tétons et minette, elle va finir par m’insupporter ! Je préfère m’intéresser à tes commentaires sur la prestation de Clémence.
    
    — Vous ne vous en êtes pas trop mal sortie, la complimentes-tu. On vous avait déjà appris cette tâche ?
    — Non, Madame Aline. Ma sœur est danseuse, je l’aide souvent à se changer en coulisses. Entre deux tableaux, il faut faire vite.
    — C’est très bien de s’entraider. Surtout sans pudibonderie, si j’ai bien compris, insinues-tu. Vous serez vite experte. Mais la prochaine fois, évitez de bousculer la cliente avec la tête. Et essayez de garder les genoux serrés. Vous nous avez offert une jolie vue de short bien moulant. Avec un tissu aussi fin, faites attention, ça peut choquer les personnes trop prudes…
    — Remarquez, pour nous c’était charmant. Et instructif, ajoutes-tu en la voyant rougir.
    
    Du coup, je regrette d’autant plus d’avoir été tenue à l’écart du canapé et je comprends la raison des yeux enjoués de Marie-Blanche pendant le déculottage de sa timide servante. Laquelle renâcle ...
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