Une inspection édifiante
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pour l’heure à se renverser jambes en l’air par-dessus le dossier du fauteuil. Je réclame l’aide de Viviane et Déborah plutôt que de tenter de convaincre la récalcitrante. À nous trois, deux par les bras, la troisième par les chevilles, nous arrivons à l’installer dans la position indiquée. Elle se débat, au début, mais Déborah l’oblige à coller son dos au siège en lui bloquant les épaules avec ses genoux. Sandrine lève les yeux, voit la fente rose et luisante qui la domine, et se tient tranquille.
Viviane n’a pas pipé mot durant toute l’opération, pas vraiment réticente aux inévitables contacts entre nous, mais pas vraiment détendue non plus. Je devine les sentiments mitigés qu’elle doit éprouver, troublée par l’ambiance érotique et à moitié nue au milieu de trois filles à poil. (Quoique « à poils » serait plus juste pour deux d’entre elles…)
— Hé, les trois Grâces ! Pressez-vous un peu, notre amie attend votre sentence pour envoyer Sandrine porter sa robe à la buanderie, nous rappelles-tu à demi sérieuse.
Sandrine tient ses jambes serrées pour retarder le moment de ce qu’elle ressent comme une terrible humiliation. Pourtant, elle ne résiste pas quand je les écarte. Elle me fixe intensément, dans une supplication muette. Deux grosses larmes perlent au coin de ses paupières. Elles roulent le long de ses tempes lorsque je rehausse ses hanches pour caler ses petites fesses rondes sur le bord du dossier. Malgré son désespoir et ses sanglots, elle est si habituée à ...
... obéir qu’elle facilite le mouvement en poussant sur ses coudes. Son innocente servilité me touche. J’aimerais atténuer sa détresse. Sans me soucier de mes pointes de sein qui frôlent ses genoux, je me penche vers elle pour lui parler gentiment.
— Ne t’inquiète pas, ma puce. Ce n’est rien du tout, je te promets que tu n’auras pas mal. Tiens, imagine que tu es chez le docteur. D’accord ? Ferme les yeux, si tu veux. Voilà, c’est bien. Tu resteras sage, sans bouger ?
Elle hoche la tête en reniflant et ses hoquets s’atténuent lentement. Déborah peut la libérer de son emprise et venir se placer de mon côté. Au passage, elle attrape le bras de Viviane et l’oblige fermement à se tenir entre nous. Peut-être à cause de l’évocation du Botticelli, ou par simple coïncidence, j’ai le même geste que Déborah pour enlacer étroitement la gamine et lui ôter toute possibilité d’échapper à ses responsabilités. Devant nous, sous un court buisson de fin duvet, ses grandes lèvres bombées et closes, s’expose le petit minou de Sandrine.
— Ma puce, lui dis-je doucement, tu te souviens de la façon dont tu as ouvert le sexe de Déborah ? Tu veux bien faire pareil pour le tien ? Non ? Tu préfères que je demande à Viviane ?
Cette alternative la décide. En soupirant de honte, elle pose les doigts sur les bords de sa vulve et esquisse un timide mouvement. À peine peut-on entrevoir le liseré des nymphes dans la fente. C’est mignon, mais insuffisant.
— Mieux que ça, ma chérie. Tu dois tout nous ...