Une inspection édifiante
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... son geste d’une vive pression de la main.
— Vous oubliez quelque chose, Clémence, remarques-tu.
— …
— Vous avez oublié de vérifier.
— Heu… Vérifier… Que je vérifie quoi ? rétorque Clémence, vexée.
— « Madame Aline », s’il vous plaît, Mademoiselle. « Que je vérifie quoi, Madame Aline », la reprends-tu. Vous devez vous assurer de la propreté de cette lingerie avant de la remettre à madame C**.
— Ben… Elle doit être propre… Euh… Madame Aline.
— Vous croyez ? Regardez mieux. Non, pas comme ça. Retournez le gousset.
Elle s’exécute, mais reste muette. Il te faut la relancer pour qu’elle se décide à parler.
— Il y a… il y a des traces… Madame Aline.
— Des traces ? Des traces ou des taches ? De quoi ? Où ? Soyez plus précise, Clémence ! Ouvrez vos yeux et votre nez !
L’apprentie femme de chambre étudie avec circonspection l’endroit indiqué et, sous la pression de ton regard attentif, elle finit, avec un soupçon de répulsion, par renifler le coton douteux. Prise d’un doute, et voulant rattraper sa première méprise, elle y remet le nez et inspire plus longuement.
— Alors, Mademoiselle, vos conclusions ? Pouvez-vous nous en dire plus, après ce si minutieux examen ?
— Oui, Madame Aline, affirme Clémence sans relever le ton ironique de ta question. Il y a des auréoles sèches et des taches humides sur le coton.
— Non ! C’est pas vrai, proteste Sandrine au bord des larmes.
— Le gousset ne sent pas que le pipi… euh, pardon, l’urine, poursuit l’élève examinatrice, ce ...
... serait plutôt de la… euh… mouille…
Révolte de l’examinée qui sanglote qu’elle est propre, qu’elle le promet, qu’elle l’est toujours, et qui n’écoute plus les dernières précisions, pourtant à son avantage, de Clémence.
— Mais la ficelle des fesses est nette, termine-t-elle. Voulez-vous le voir, Madame Aline ?
— Donnez le à madame C**. Merci. Qu’en pensez-vous, chère amie, notre petite stagiaire a-t-elle jugé correctement ?
— Non… c’est faux… elle ment… hoquette Sandrine entre deux sanglots.
— Hélas, c’est vrai, contredit sa patronne d’un air désolé. Voyez vous-même, Aline, regardez et sentez. Clémence a raison, malheureusement.
J’ai pitié de Sandrine. La pauvre, je suis quasiment certaine que Clémence a aggravé les choses pour se faire valoir et que vous prenez, Marie-Blanche et toi, un malin plaisir à augmenter sa confusion. Je connais bien les petites rides qui entourent tes lèvres quand tu réprimes un sourire, et Marie-Blanche contrefait trop mal l’apitoiement. Les coups d’œil goguenards que je surprends entre Viviane et Clémence achèvent de m’édifier. Mais je suis curieuse de savoir la suite de ce bizutage.
— Eh bien, Sandrine, interroges-tu d’une voix sévère, on soutient toujours que l’on n’a rien à se reprocher ?
— Ouiii, snif, ouiii, snif…
— Donc, Clémence a menti, je mens, et ta maîtresse ment aussi ?
— … snif… je vous promets… snif… Madame… snif… je vous promets…
— Bon ! Puisque tu mets en doute notre jugement, il y a un bon moyen de trancher. Nous ...