Une inspection édifiante
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des premiers épisodes (1 à 5) :
—Questions, espoirs et désillusions »
—Une mise en situation réconfortante »
—Des avantages d’être servie »
—Échanges de politesses »
—Évaluations à chaud »
—Jeu de rôle, disiez-vous ? »
Déborah retombe mollement sur la chauffeuse, pantelante, mes ongles encore plantés sur la peau d’un sein. Mes baisers les remplacent pour atténuer leurs traces douloureuses tandis que Viviane et Clémence reposent délicatement les chevilles qu’elles serraient par réflexe. Sandrine est encore bouche bée, aussi désorientée que sa maîtresse, nos pieds toujours emmêlés. J’en profite pour caresser les siens, agréable sensation de peau douce au bout de mes orteils. Elle ne s’en rend même pas compte.
— Sandrine ! Allez-vous laisser Madame dans cet état ?
Ton injonction lui rend vie. Elle se dresse et jette un regard de détresse au tas froissé et imbibé que sont devenus blouse et tablier. Les jugeant à bon droit immettables, elle ramasse machinalement le chemisier de Clémence tout aussi détrempé, pour le rendre à sa propriétaire qui le dédaigne. Sa patronne s’est levée, elle aussi, secouant la tête d’un air incrédule à la vue du désastre qui frappe son élégante mise. Sa moue de dépit atteste de la crainte d’une catastrophe irréparable.
— Mon dieu, je suis désolée pour votre jolie robe, t’exclames-tu hypocritement. Mais rassurez-vous chère Marie-Blanche, ça ne tache pas si on le lave encore humide. Sandrine va tout de suite vous aider à vous ...
... déshabiller.
— Mais… euh… comment… là ? balbutie la pauvre arrosée.
— Tout de suite, oui, pour éviter d’aggraver les choses, précises-tu. Sandrine, dépêchez-vous, voyons !
Il n’y a plus de madame C**, plus de respectable bourgeoise, plus de code des convenances. Il ne subsiste qu’une Marie-Blanche déboussolée par ce qu’elle vient de découvrir et subir, perdue dans des pensées contraires, tiraillée entre le désir de s’encanailler et la peur de la tentation. Elle n’a pas la force de refuser ton conseil impératif, ni même d’en différer l’exécution. En a-t-elle l’envie, au fond ? La petite bonne se dépêche, en effet, de dépouiller sa patronne apathique de la tenue souillée des reliefs de l’orgasme. Peut-être voit-elle là une sorte de renversement des rôles après sa propre mortification. Déjà, les épaules nues se dégagent du vêtement dégrafé.
— Dites-moi, chère Marie-Blanche… questionnes-tu, sans qu’elle réagisse.
— Hem ! Marie-Blanche ? poursuis-tu d’une voix plus forte.
— Oh, oui, pardon Aline, que disiez-vous ? J’étais ailleurs, s’excuse-t-elle en s’extrayant difficilement de sa léthargie.
— Je vous en prie, souris-tu, c’est tout naturel. Je pense que vous avez été surprise, n’est-ce pas ?
— Je l’avoue. Plus que surprise, dirais-je ! Je ne m’attendais pas à cette… heu, à ces…, heu, enfin, à ce débordement. Comme je vous le disais, je ne connaissais pas ce genre de… particularité. Peut-être m’avait-on informée ? Je n’avais pas retenu. Mais, Aline, vous parliez de ...