1. Une inspection édifiante


    Datte: 28/03/2022, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, nopéné, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... hygiénique après ton pipi.
    — Mais je dois m’essuyer, sinon Madame… s’inquiète l’innocente.
    — Bien sûr ! Sauf que le papier s’imbibe très vite, avec les gouttes de pipi et toute ta mouille grasse, et il se dissout en petits fragments bien collants. Prends une petite éponge à la place du papier, ta minette sera toujours bien proprette.
    — Mais c’est sale ! intervient Viviane.
    — Pas si tu rinces l’éponge après, cochonne, rétorque Déborah moqueuse. En plus, c’est beaucoup plus agréable que le papier. Essaye, tu verras !
    
    Je ne suis pas mécontente de ma petite leçon d’hygiène intime, ni de partager cette astuce de soin avec Déborah. Il me vient à l’esprit qu’il serait amusant de l’appliquer à cette pimbêche de Viviane, voire à user pour ce faire d’une éponge à récurer… Du coup, je fixe ostensiblement sa lingerie douteuse avant de communiquer en partie ma pensée à Déborah en approuvant sa remarque.
    
    — Bien plus doux et plaisant, oui, et elle serait bien inspirée de l’essayer rapidement, non ?
    
    Elle acquiesce d’un hochement de tête appuyé tandis que Viviane nous fusille du regard. La petite voix de Sandrine l’empêche de répliquer.
    
    — Madame, est-ce que je peux me lever maintenant ?
    — On ne t’a pas regardé partout, persifle méchamment Viviane en dérivatif de sa colère.
    — Mon dieu, c’est vrai, dis-je gaiement. Ramène tes genoux sur ta poitrine, Sandrine, et tiens-les avec tes mains. Viviane a bien fait de nous rappeler qu’on oubliait ton petit trou.
    — Oh non ! Non ! ...
    ... Pas ça ! J’ai honte, et puis, je suis propre, clame notre nymphette outrée.
    — Mais si, mais si… Allez, en position, montre nous ton joli troufignon.
    
    Contrainte d’exhiber ce qu’elle considère comme sa partie la plus secrète, Sandrine pleure pour de bon tandis que Viviane lui ouvre les fesses sans ménagement. Une étoile d’un bistre foncé brille au centre d’un ovale légèrement ocré qui s’étire autour d’elle. Une coulée de mouille sur le périnée a relié la commissure des lèvres au sillon culier et baigné la rosette. À première vue, hormis cette bénigne pollution naturelle, aucune critique ne peut stigmatiser la propreté irréprochable dont s’honore la jeune bonne de madame C**.
    
    Par un acquis de conscience, dont je ne me cache pas le caractère coquin, je passe un index inquisiteur sur les plissements du mignon cratère et j’invite mes compagnes à m’imiter. Nos doigts glissent tour à tour le long de la raie soyeuse au grand dam d’une pudeur outragée. Ils déclenchent à chaque fois, frissons, spasmes, hoquets, sanglots, et production renouvelée d’un liquide intime translucide d’une délicate viscosité… Même la mesquine Viviane est troublée comme Déborah et moi par cette touchante émotivité.
    
    — Tu es propre comme un sou neuf, ma puce, affirmai-je pour tenter de calmer le déluge de larmes. Ton petit trou est aussi exemplaire que ta petite chatte.
    — Et tu as tout ce qu’il faut pour les garder en parfait état de marche, ajoute Déborah un rien taquine.
    — Et tout est très mignon, je ...