Une inspection édifiante
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... capuchon du clito. Après une dernière inspiration des fragrances, elle consent à se prononcer.
— Rien de bien méchant : il y a quelques fines granules blanchâtres collées sur l’intérieur des petites lèvres, sinon, un faible relent de pissou, peut-être, et un arôme de cyprine plus soutenu qu’on l’attendrait. On dirait qu’elle mouille beaucoup, notre pucelle. Pas de quoi fouetter un chat, à mon avis, conclut-elle.
Ces précisions distinctement prononcées sur un ton détaché font tourner toutes les têtes vers elle, tandis que Sandrine lui jette un regard affolé. Une juge pour l’amnistie, une juge pour la sanction, j’ai dans les mains – les yeux et le nez aussi – le sort de l’accusée. Prenons au sérieux notre mission d’arbitre ! (Pensée un peu pompeuse, certes.)
— Bien, comme l’a dit Aline, Déborah est une spécialiste de la question, mais voyons par nous-même, professai-je à la cantonade. D’abord l’odeur… mmmh, c’est vrai, on détecte une âcreté suspecte. Cependant, n’oublions pas la virginité de l’inculpée. Je sens plutôt l’acidité de la cyprine que celle d’un vieux pipi mal essuyé…
Sandrine est à moitié rassurée, Viviane froissée, Marie-Blanche intéressée. Déborah et toi échangez une mimique entendue. Je complète mon analyse par une exploration visuelle et tactile. Je tiens à être parfaitement impartiale.
— Ce qui me chagrine c’est cette histoire de granules… Ne bouge pas, Sandrine, l’avertis-je. Je vais essayer d’en décoller une, mais avant je veux voir ton bouton ...
... tout sorti.
Je repousse aussi loin que je peux le capuchon avec mes pouces, sans m’arrêter à ses grimaces de souffrance. Le bourgeon saille de plus belle, mauve, turgescent, et propre. Je le calme d’un doigt mouillé et me reporte sur une nymphe que j’étire fortement d’une main, ignorant la petite plainte que je suscite. La cueillette s’avère laborieuse, car ces manipulations ont déclenché une nouvelle abondance de mouille grasse. Je récolte enfin l’un de ces fameux grains au bout d’un ongle, le fais rouler sous l’index, et éclate de rire.
— Voilà le mystère levé ! Dis-moi, ma puce, tu es allée faire pipi pendant que tu t’es éclipsée, tout à l’heure ?
— Oui, Madame, mais je me suis essuyée, avoue une Sandrine mortifiée du soupçon.
— Mais c’était après que tu as inspecté Déborah avec moi, hein ?
— Ben oui. Pardon, je ne voulais pas déranger.
— Ne t’excuse pas. Je suis sûre que tu as beaucoup mouillé en tripotant sa chatte, non ?
Elle balbutie des mots embarrassés d’où il ressort que la raison du trouble était que je la tenais serrée contre moi, et aussi une autre qu’elle ne parvient pas à formuler. Je finis par dire à sa place le mot qu’elle n’ose prononcer.
— Parce que j’étais toute nue ? Je le suis toujours, complétai-je en souriant.
— Oui… Oh, excusez-moi s’il vous plaît.
— Non, je te remercie, au contraire. C’est plutôt flatteur pour moi. Seulement, comme tu es une grosse mouilleuse – tant mieux pour toi d’ailleurs – ne t’essuie pas le minou avec du papier ...