Une inspection édifiante
Datte: 28/03/2022,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
caresses,
nopéné,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... reviennent à leur poste, et, en dépit d’une paire de joues empourprées, elles écartent franchement la vulve, bien grand. Cette fois, on voit tout. Le clitoris s’est pudiquement rétracté, mais les lèvres étirées ont forcé les nymphes à se disjoindre. Elles exhibent un joli corail brillant, un mignon petit trou à pipi, et un étroit vestibule qui pleure un suintement gluant.
— Mais tu es vierge, ma chérie !
— Oui Madame, souffle-t-elle. C’est mal ?
Petite ingénue ! Comme si se faire pénétrer était l’acmé de la femme accomplie… Viviane ne doit pas être loin de le croire, à voir sa mine condescendante. Déborah manifeste au contraire une indulgence affectueuse.
— Mais non, Sandrine, ce n’est ni mal ni bien, répond-elle. C’est à toi de choisir le moment où tu auras vraiment le désir de ne plus l’être.
— Déborah a raison. Ne t’inquiète pas ma puce, ça se fera tout seul quand ton corps te le dira. Sois juste attentive à tes pulsions, sans te préoccuper d’une quelconque morale. Maintenant, laisse-nous t’examiner. Ta maîtresse et Aline s’impatientent.
Ce n’est sans doute pas très vrai, si j’en juge par l’aparté entre Marie-Blanche et toi que me révèle un rapide coup d’œil. Mon rappel du sujet qui nous intéresse est cependant suivi d’effet. Sandrine se détend et s’expose autant qu’elle peut. Excellente occasion d’inviter Viviane à scruter de près la minette incriminée. Il nous faut bien unir nos forces avec Déborah pour la pousser à s’y pencher, mais je peux ainsi ...
... reporter mon attention sur votre étrange manège.
Vous êtes installées face à face, ce qui, sur un canapé à deux places, impose une attitude pour le moins déplacée à chacune. Marie-Blanche a posé sa jambe droite sur l’assise et la gauche sur le sol. Tu as adopté une posture inversement symétrique. J’imagine que vos pieds doivent se confronter comme vos jambes s’entrecroisent. Est-ce que le fin voile humide de sa culotte moule ses grandes lèvres à ta convenance ? Je ne saisis pas ce que tu lui expliques en désignant ton pubis. Je vois seulement qu’elle fixe avec un intérêt plus qu’évident l’endroit indiqué. J’en déduis que notre élégante amie a le plaisir d’assouvir une nouvelle fois sa curiosité, vu qu’il s’agit de ta blonde chatte nue. Petit pincement de dépit jaloux en me rappelant les sensations que m’avait provoquées son regard sur la mienne…
Les paroles de Viviane me ramènent à l’actualité.
— Hein ? Pardon, que disais-tu ?
— Je disais que c’est vrai, la chatte de Sandrine sent la pisse, répète-t-elle plus fort.
— Ah bon, tu es sûre ? Déborah, tu veux… désolée ! Voulez-vous le confirmer ?
— Il n’y a pas de mal, Chantal. D’accord, je vais y mettre le nez moi aussi, s’amuse-t-elle.
Viviane se renfrogne et Sandrine détourne la tête pendant que Déborah explore et hume longuement les replis présumés malodorants. Elle pousse le scrupule jusqu’à aplatir du doigt, au creux de la chatounette, un bourrelet ici, un pétale là, voire à retrousser avec précaution le délicat ...