1. Marie.... si tu savais... (1)


    Datte: 23/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... cela !
    
    Les deux jeunes femmes s’installèrent dans la voiture de Marie. Un certain trouble flottait dans l’air. Solweig, les yeux fixés dans ceux de Marie, demanda :
    
    — Vous jouez souvent à la bonne Samaritaine ?
    
    — Seulement quand la fille est jolie !
    
    Marie se rendit compte immédiatement de l’impudence de son propos qu’elle tenta immédiatement de le corriger :
    
    — Enfin, je veux dire quand la personne est sympathique !
    
    Solweig essuya un œil encore humide et gratifia Marie d’un sourire merveilleusement enjôleur. Le peu de lumière ambiante ne révéla pas le rouge aux joues de la conductrice.
    
    — Vous permettez ? Je tente encore une fois !
    
    Pendant que Solweig tentait de joindre à nouveau le cousin qui pourrait venir la chercher, Marie ne put s’empêcher d’admirer sa voisine. Un visage fin auquel quelques taches de rousseur donnaient un air mutin et ses yeux d’un bleu clair qui l’avaient fixé lors de leurs premiers regards, ses jambes fines que mettaient en valeur de jolies bottes de cuir, une robe de laine qui moulait parfaitement un corps harmonieux tout en laissant voir le haut des cuisses. Solweig portait un manteau de cuir qui s’était ouvert et ne cachait en rien les petits seins de la jeune femme que moulait la robe. Il sembla même à Marie que la jeune femme ne portait de soutien-gorge, les tétons pointant sous la laine. Un détail qui rajouta encore au trouble de Marie déjà sous le charme, enveloppée dans le parfum de luxe de la belle.
    
    — Aucune réponse. ...
    ... Je ne sais pas comment faire.
    
    — Il y a peut-être une solution... Vous êtes attendue ?
    
    — Non justement ! Je voulais faire une surprise à ma tante, personne ne sait que je viens. Personne ne va venir me chercher.
    
    — Alors personne ne va s’inquiéter... Voilà ce que je vous propose...
    
    Marie prit en main le sort de sa nouvelle amie. En demandant gentiment au pompiste, il n’y aurait aucune raison pour qu’il voie un inconvénient à ce que la voiture en panne reste garée près de la station. Pour la nuit, Marie hébergerait Solweig dans la maison secondaire qu’elle possédait à quelques vingt kilomètres de là et où elle se rendait. La maison était déjà ouverte puisque son mari, Jean, y était déjà. Certes la résidence était petite, mais on s’arrangerait.
    
    Solweig accepta tout de suite et, dans un élan de soulagement, posa un baiser sur la joue de sa voisine. Marie apprécia le satin de sa peau.
    
    — Vous êtes vraiment très gentille. Je ne sais pas comment j’aurais fait sans vous.
    
    Marie, de plus en plus troublée par le magnétisme que dégageait la jeune femme et par le doux baiser dont elle l’avait gratifiée proposa :
    
    — Et si on de disait « tu » ?
    
    Les images de la jeune stagiaire lui revinrent à l’esprit et elle pensa :
    
    — Mais qu’est-ce qui m’arrive ?
    
    Quelques minutes après avoir demandé la permission au pompiste qui se trouva ravi d’aider les deux jeunes femmes et après avoir transféré les bagages de Solweig, du coffre de la Mini à celui de la voiture de Marie, ...
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