Marie.... si tu savais... (1)
Datte: 23/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... les deux jeunes femmes prirent la route de...
— Cela faisait cinq ans maintenant qu’on était ensemble. C’est vrai que la fougue des premiers mois s’était un peu estompée. On ne faisait plus souvent l’amour, enfin, je suis crue, excuse-moi, Marie, mais on ne baisait plus souvent ensemble. En tout cas, je n’ai rien vu venir. Hier matin, il m’a tout lâché. Depuis quelque temps, il couche avec une collègue et il part s’établir avec elle. Poum ! Me voilà célibataire.
Solweig avoua son désarroi à sa nouvelle amie.
Celle-ci tourna le regard vers sa passagère dont les yeux étaient à nouveau embués.
— Ah les hommes, pas facile de vivre avec eux !
— Et vous ? Enfin, je veux dire « toi ».
— Quoi moi ?
— Avec ton mari ? Ça va ?
— Oui, j’ai de la chance, c’est un homme super, un homme élégant, intelligent, un amant attentif, aux petits soins...
— Tu es une femme comblée, quoi !
Solweig lança la remarque avec une pointe de taquinerie. Curieuse...
— On peut dire cela...
Marie botta en touche.
— Jamais eu envie de nouvelles expériences ?
Marie se retint de dire qu’effectivement, elle avait envie de vivre des choses inédites, hors des sentiers battus, des moments où la quête du plaisir serait plus forte que le simple acte d’amour et de partage avec son compagnon, de nouvelles expériences dans lesquelles elle pourrait se lâcher complètement, sans pudeur, sans retenue, où elle pourrait s’affranchir des règles imposées par la « morale ». Vivre ...
... l’interdit. Tout un programme.
Une demi-heure plus tard, la voiture se gara devant une petite maison aux volets bleus.
— On est arrivé ! Il y a de la lumière, mon mari n’est pas encore couché.
Les deux jeunes femmes quittèrent la voiture après avoir récupéré leurs bagages. Jean, alerté par le claquement des portes, était sorti sur le pas de la porte. Quelle ne fut pas sa surprise quand il aperçut deux silhouettes se dirigeant vers lui.
— On a de la visite chéri !
— Chéri, Solweig, Solweig, Jean...
Les présentations étaient faites.
— J’ai proposé à Solweig de passer la nuit ici.
Marie raconta rapidement sa rencontre avec la belle blonde, ses ennuis mécaniques, l’impossibilité de joindre sa famille. Elle omit toutefois de parler de ses problèmes conjugaux.
— Ravi de vous rencontrer Solweig. Vous êtes la bienvenue.
— On peut loger Solweig dans la petite chambre. Qu’est-ce que tu en penses ?
— Ben non !
— Pourquoi ?
Marie s’étonna de la réponse de Jean.
— Ben c’est que je viens de tout déménager les meubles qui y étaient. Je voulais te faire la surprise. J’ai commencé à repeindre les murs de la chambre. C’est un vrai chantier.
— Je suis désolée, je vous mets dans l’embarras avec mes problèmes.
Marie réfléchit quelques secondes pour trouver une solution :
— Il ne nous reste plus qu’un grand lit et un canapé donc. Jean, tu ne vas pas infliger à Solweig de dormir dessus. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, nous les filles on prend le lit et on ...