1. Marie.... si tu savais... (1)


    Datte: 23/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    Marie, si tu savais...
    
    (Nota : ce texte m’a été envoyé par une lectrice du site... Elle m’a demandé d’en écrire une suite... vous lirez ce que j’ai concocté à la fin de ce premier chapitre.
    
    Chapitre 1/2.
    
    Le week-end arrivait enfin. Marie jeta un coup d’œil à son smartphone avant de refermer son bureau. La quadragénaire prit la direction du parking. Il lui restait encore deux heures de route avant de retrouver le calme paisible de sa maison de campagne où son mari l’attendait déjà. Profitant d’un plus long repos hebdomadaire, ce dernier regagnait plus tôt la Normandie, le jeudi soir. Marie l’avait eu au téléphone cet après-midi.
    
    Après les banalités d’usage concernant le programme du week-end, la conversation avait quelque peu dérapé. Quelques mots doux de son compagnon lui avouant qu’elle lui manquait avaient suffi à Marie pour jouer, à son tour, à la chatte en lançant des sous-entendus qui n’avaient pas laissé de marbre son interlocuteur. Il faut dire qu’ils avaient l’habitude de pratiquer ce genre de jeux qui ne tendent qu’à s’exciter soi-même en créant le désir chez l’autre.
    
    Une version du ‘’ Dis-moi ce qui t’excite que ça me fasse bander, dis-moi que tu bandes afin que je mouille ! ‘’.
    
    Au téléphone, Marie savait parfaitement jouer de sa voix qu’elle avait chaude et grave. En plus du choix des mots, des silences, des modulations, elle savait émettre quelques bruits de bouche des plus évocateurs et moult soupirs qui ne pouvaient que troubler le mâle à ...
    ... l’écoute. Elle en usait même dans ses relations professionnelles. C’est tout dire !
    
    Cet après-midi, son compagnon avait été chauffé à blanc. Elle lui avait évoqué un week-end en ‘’ day off ‘’ après une semaine surchargée :
    
    — Je reste au lit pendant deux jours, tu sauras t’occuper de moi ?
    
    Tout un programme.
    
    Dans l’ascenseur qui menait au parking, elle croisa Loïc Blandin, le bellâtre de la compta’. L’homme à l’élégance provocatrice laissait dans son sillage une fragrance des plus délicates : un parfum subtil et cher, image de marque du séducteur qu’il était. Sa réputation d’ailleurs n’était plus à faire et il y tenait. C’était un homme à femmes comme on dit. Combien de jeunes stagiaires avait-il séduites, les belles sortant des grandes écoles de commerce, il ne pouvait le dire lui-même tant il y en avait. Sa seule concession c’est qu’il s’interdisait de s’attaquer aux femmes de la société. Il ne chassait que les filles de passage au grand dam de certaines qui auraient bien enquêté de plus près sur la marque du parfum.
    
    Marie n’était pas de celles-là, quoique...
    
    En secret, au creux de la nuit, elle en avait déjà rêvé plusieurs fois, mais s’était bien gardée de l’avouer à son compagnon. Son sexe humide au petit matin aurait pu en témoigner.
    
    Le sourire de Loïc lui souhaitant un bon week-end en lui déposant un baiser sur les deux joues lui fit remonter ces images à la surface. Un frisson de désir lui traversa le bas de reins. D’instinct, elle porta sa main à son ...
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