Second Empire des Sens - Histoires de Sexe

Second Empire des Sens

... mais je vous assure que cette soirée ne sera certainement pas la dernière ! Sauf si… enfin… vous n’étiez plus d’accord pour me revoir.

Elle reste butée sur son idée :

— Restons-en à l’hypothèse que ce soit la première et la dernière soirée.
— Admettons.
— J’aimerais que… que nous allions jusqu’au bout… je veux savoir…
— Vous voulez savoir si ça aussi sera différent, je me trompe ?

Elle pose ses mains sur les miennes qui la ceinturent toujours. Elle s’agite un peu plus :

— Oui… euh non… tout est tellement différent depuis le début de ce dîner… Vous m’avez tellement… je… je ne vois plus les choses de la même façon. Tout se bouscule dans ma tête !
— Vos désirs sont des ordres, adorable Valentine.

Elle étouffe un petit rire. Je pose la question :

— Avec ou sans précaution ?
— Il n’y a pas de danger… c’est… c’est prévu pour dans peu de jours.

Ce n’est pas si courant, une femme qui connaît un peu son corps et qui semble avoir compris certaines règles biologiques. À moins que je ne me trompe sur ce point-là. Je serre ma nouvelle maîtresse contre moi :

— Il en sera fait selon vos désirs, chère Valentine.

Elle se moque un peu de moi :

— À vous entendre, on croirait que vous allez le faire rien que pour me faire plaisir !
— Pour nous faire plaisir, croyez-moi !
— Je veux bien vous croire, Armand…

Elle marque une petite pause pour ensuite demander d’une petite voix :

— Je… je me mets comment pour que vous… ?
— Valentine, savez-vous que vous ...

... avez droit à ce qu’on appelle des préliminaires ?
— Ah ? Je… Vous ne voulez pas vous soulager au plus vite ?
— Je n’en suis plus à quelques minutes !

Elle argumente :

— Oui, mais moi, il faut que je rentre bientôt.
— Votre retour attendra bien encore un peu. Ne changeons pas les bonnes habitudes de cette soirée, laissez-vous guider. Ça vous convient ?
— Oui, ça me convient.
— Très bien !

Toujours plaqué contre son dos, je capture à nouveau ses seins à pleines mains, les soupesant dans mes larges paumes. J’en profite pour dévorer son cou de mille baisers, elle se laisse faire en inclinant la tête sur le côté. Très vite, elle tremble à nouveau, signe évident qu’elle aime. Je titille ses tétons qui durcissent, je joue avec, je les étire doucement, elle soupire d’aise. Il ne me faut pas bien longtemps pour qu’elle vibre à nouveau, ça fait tellement longtemps, tellement d’années que son corps n’a pas été choyé.

Puis, estimant que c’est le bon moment, je change de position. Assis pour moi et agenouillée pour elle, nous sommes maintenant face à face. Son visage entre mes mains, je lui explique la suite :

— Vous allez vous asseoir sur moi, Valentine…
— M’asseoir sur vous ? Vous voulez dire sur votre…
— Sur ma verge, mon phallus, mon pénis, et bien d’autres mots…

Elle semble étonnée :

— Mais d’habitude, ce n’est pas comme ça que…
— Sachez, ma chère Valentine, que, selon un ouvrage indien fort célèbre dans son domaine, il existe une bonne quarantaine de ...