Second Empire des Sens - Histoires de Sexe

Second Empire des Sens

... positions.
— Une quarantaine !?
— Oui, une quarantaine de positions, vous vous êtes condamnée à me revoir au moins une quarantaine de fois !

Elle pouffe de rire :

— Vous êtes imp… Non, je vous adore comme vous êtes !
— Moi aussi, je vous adore, ma chère Valentine. Asseyez-vous sur moi, je veux que ma verge soit en vous, je veux que nos ventres soient collés, je veux que vos seins soient écrasés contre ma poitrine, je veux que nos lèvres soient soudées, je veux vos mains dans mon dos, je veux que vous me fassiez sentir que vous avez envie de moi !

Elle rougit :

— T… tout ça ?
— Je veux vous voir jouir, là, sous mes yeux. Et je veux que vous me voyiez jouir en vous !

Elle me regarde droit dans les yeux, j’y vois une certaine crainte de l’inconnu, mais aussi un profond désir. Je lui souris :

— Maintenant, faites-le !

Elle ne répond rien, mais agit. Elle se soulève pour essayer de se positionner au mieux, je l’aide en dirigeant ma verge vers sa fente que je devine déjà bien détrempée. Je cogne à son entrée, puis sans effort apparent, ma tige coulisse lentement en elle, tandis qu’elle s’assied sur moi, poussant un long gémissement. Je l’attire à moi, nos ventres se plaquent l’un contre l’autre, ses seins laiteux s’aplatissent contre mon torse, nos bouches se touchent presque.

— Armand…
— Oui, ma chérie ?
— Vous… vous venez de m’appeler ma « chérie » ?
— C’est bien ce que vous êtes, vous êtes celle que je désire, celle avec qui je fais ...

... l’amour.

Elle sourit d’une bien belle façon :

— Merci…
— Merci aussi à vous d’avoir accepté… Que vouliez-vous me dire ?
— Je voulais vous dire que… que c’est merveilleux d’être comme ça. Merci…
— Ça va faire deux fois que vous me remerciez, ma chérie. Maintenant, mettez vos mains dans mon dos.

Posant mes lèvres sur les siennes, j’entame un long et voluptueux baiser. Je sens ses bras, ses mains dans mon dos. Je descends les miennes vers ses fesses pour les capturer et commencer à la faire coulisser sur ma colonne de chair plantée en elle, dans son antre si doux et si chaud. Je sens distinctement son bosquet fourni en bas de mon ventre et leurs boucles soyeuses me câlinent sensuellement lors des va-et-vient de son corps.

Ses seins lourds massent mon torse, ses tétons durcis laissent leur empreinte sur ma peau. Nos ventres se frottent. Corps contre corps. Peau contre peau, chair contre chair. Moi en elle, elle sur moi, deux en un.

Notre baiser se poursuit, Valentine prend des initiatives, elle se laisse aller petit à petit. Le plaisir monte en elle, je sens de plus en plus ses ongles contre ma peau. Elle halète, mordant mes lèvres, plongeant sa langue dans ma bouche.

Soudain, elle se raidit, elle se cambre en arrière, les yeux fermés, enfonçant ses ongles en moi, un long râle sort de sa bouche :

— Ah… Aah… Aaah ! Oui… Oh oui ! Ah oui !

Son visage s’illumine sous la vague qui la submerge, ses traits se transcendent. Dieu qu’elle est belle ! Aucun peintre ne saurait ...