1. Second Empire des Sens


    Datte: 22/03/2022, Catégories: fh, caférestau, fête, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, jeu, historique, initfh, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... C’est vous qui êtes modeste… Je sais par ouï-dire que vos biens ne sont pas négligeables.
    — Je vois, chère Madame, que vous avez vos sources. J’ai été marié, vous le savez sans doute, mais hélas, mon épouse m’a quitté, il y a dix ans, pour un autre monde qu’on dit meilleur. Depuis, pour oublier, je me consacre à mon métier.
    
    Ce que je viens de dire est partiellement vrai. Je n’avais pas choisi mon épouse, elle le fut par mes parents. Ce fut une entente assez cordiale, mais stérile. Quand ma femme est décédée d’une stupide chute de cheval, j’ai décidé de rester libre et de n’avoir que des petites aventures, prenant prétexte que je ne serais l’homme que d’une seule femme. Un prétexte faussement romantique, mais qui fait bien mes affaires.
    
    Mon interlocutrice affiche un air attristé qui ne semble pas feint :
    
    — Mes sincères condoléances pour votre défunte épouse. Néanmoins, je suis étonnée que vous soyez toujours célibataire depuis tout ce temps, car vous êtes un bel homme dans la quarantaine.
    — Je vous remercie du compliment, et je vous le retourne : vous êtes une bien belle femme, assurément ! D’ailleurs, vous en avez fait hériter vos filles.
    
    Elle rosit un peu. Avec un petit sourire, jouant avec son éventail, elle me demande :
    
    — Merci du compliment. Dois-je comprendre que l’une de mes filles ne vous laisse pas indifférent ?
    — Vos filles sont magnifiques, j’en conviens, mais un peu jeunettes pour moi.
    — Ah bon, trop jeunes, dites-vous ? Pourtant, j’ai eu pour ...
    ... elles des propositions de la part d’hommes qui pourraient être votre père.
    — À chacun ses goûts, Madame de Beaumontel. Pour ma part, je préfère la version originale aux deux copies.
    
    Arrêtant subitement de jouer avec son éventail, plutôt surprise par ma répartie, elle cligne fugacement des yeux :
    
    — Que… que voulez-vous dire par là, Monsieur ?
    — Désolé de me comporter en industriel très terre à terre, mais pour faire simple et clair, c’est vous qui m’intéressez, Madame de Beaumontel.
    
    Totalement étonnée, elle en bafouille :
    
    — M-moi ? Mais je suis… enfin… je suis mère et… et trop âgée !
    — Je suis moi-même un peu plus âgé que vous, pourtant ça ne semblait pas vous gêner pour vos charmantes filles.
    — Les hommes et les femmes, ce n’est pas pareil…
    
    Je m’approche un peu plus près d’elle, tout en profitant de son beau décolleté. Concernant ses appas, son nom de famille n’est pas usurpé, même s’il fut acquis par mariage :
    
    — Excusez-moi par avance de ma goujaterie, mais vous ne devez pas avoir plus de trente-quatre ou trente-cinq ans. Disons trente-six au maximum.
    — Comme aurait dit mon défunt mari, vous avez le compas dans l’œil.
    — Vous avez eu vos enfants assez tôt, peut-être trop tôt. Néanmoins, vous avez admirablement fait votre métier de mère. Il serait temps de penser un peu à vous maintenant.
    
    Baissant un peu son petit nez, elle rougit légèrement. Puis, un peu désabusée, elle lâche :
    
    — Vous… vous êtes flatteur… mais qui voudrait d’une… d’une femme ayant ...
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