1. La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (11)


    Datte: 19/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... pinçant les tétons :
    
    - Ainsi, ma cousine ?
    
    - Ahhh… oui, ainsi…
    
    - Ma pauvre cousine, il vous blessa fort…
    
    - Oui, mon cousin, bien fort, bien… oooh, bien fort, bien fort, ainsi…
    
    - Cela vous fait-il du bien ? Que je refasse cela ? Oh, je vous entends respirer, je vous entends retenir votre plaisir… Ma verge doit vous soulager, ma douce Solange… Dites-moi encore ce qu’il vous fit…
    
    Armand ralentit à nouveau.
    
    - Il me coucha sur le sol et besogna férocement ma bouche, blessant affreusement mes lèvres, mon cousin. Je m’étouffai sur sa chair qui m’emplissait, puis sur son foutre qui jaillit et déborda tant j’étais déjà pleine de son membre. Je suffoquai et dus avaler ce que je pus pour reprendre mon souffle.
    
    Mon cousin, pris par son plaisir, perdait peu à peu l’équilibre. Nous finîmes par glisser au sol, lui au-dessus, me sabrant de plus en plus fort.
    
    - Encore, ma cousine, dites-moi encore ce qu’il vous fit…
    
    - Une autre fois, il m’allongea sur le ventre et s’introduisit cruellement entre mes fesses, sans que j’y fusse prête. Je faillis hurler de douleur.
    
    - Encore, ma cousine, encore !
    
    Armand peinait à articuler ses murmures tant le plaisir le prenait.
    
    - Une autre fois il me prit dans un réduit obscur, à quelques toises de mon époux et de ses métayers. Il alternait sabrage et rapide sodomie pour me faire souffrir sans que je puisse même gémir. Et ensuite il me livra aux métayers…
    
    - Oooh… dans le réduit obscur ?
    
    - Oui, mon cousin.
    
    - Et ...
    ... combien vous prirent ainsi, ma pauvre cousine ?
    
    - Je… je ne sais plus, trois, quatre, peut-être cinq verges me possédèrent sans que je visse les hommes qui prenaient leur plaisir en moi.
    
    Sa voix désormais entrecoupée me parvenait à peine.
    
    - Vous ne les voyiez pas ? Vos leur tourniez le dos ?
    
    - Je… oui, je… j’étais accoudée à un meuble poussiéreux, je…
    
    Mon cousin s’arracha à moi, me releva prestement et me courba contre une table de la sacristie. Il m’enconna à nouveau et, attrapant ma taille, me bourra à nouveau, sans ménagement.
    
    - Furent-ils brutaux avec vous ? En paysans qu’ils sont, vous ont-ils malmenée ?
    
    - Oh… non… oui… je ne sais… Oh, mon cousin, ils me prenaient comme vous le faites maintenant…
    
    - Et cela vous fait-il du bien, ma cousine ?
    
    - Oh mon cousin, tellement !
    
    - Déchargèrent-ils tous en vous ? Dans votre con ? Ou ont-il souillé votre joli corps de leur infâme semence ?
    
    - Oui… oh, oui, mon cousin, les deux : je les sentis tous jaillir puissamment, leurs foutres mêlés coulant le long de mes jambes et me souillant ainsi…
    
    -Oh ma cousine… ma cousine… ma chère cousine… je vais décharger aussi, comme eux… pour vous faire du bien… du bien, Solange, je vais vous soulager, prenez mon foutre en vous, prenez ma verge et mon foutre !
    
    Je mordis mes lèvres pour retenir mes cris tandis qu’il s’arquait puissamment contre moi et je m’abandonnai au plaisir.
    
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    Epuisée, je tâchai de remettre un ...
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