1. Ma cousine amoureuse


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, Inceste / Tabou gros(ses), grosseins, groscul, vacances, campagne, amour, Oral pénétratio, Auteur: Eton, Source: Revebebe

    ... féconde. D’autre part, elle a fait tout son possible pour être au maximum de ses possibilités, tous les remèdes de perlimpinpin, elle les a mis de son côté.
    
    Et maintenant elle me demande de la saillir, de l’engrosser, de lui faire un petit bébé. Je ne sais trop pourquoi j’accède à sa demande, sans doute parce que je sais que je peux avoir confiance en elle, qu’elle ne me fera aucune entourloupe, aucune difficulté, c’est juste un service que je dois lui rendre. Et je le lui rends volontiers, d’autant plus qu’elle m’a comme ensorcelé, elle m’a donné envie d’elle. Ses phéromones remplissent l’atmosphère, je me sens comme drogué, ivre d’amour et d’envie pour ses formes généreuses. Mon dard glisse entre ses cuisses largement entrouvertes, elle m’accueille dans son ventre, je sens les muscles de son vagin se contracter pour mieux sentir mon sexe.
    
    Ses yeux remplis d’amour me regardent avec intensité, son double menton disparaît derrière l’éclat de son bonheur. Cette femme généreuse à l’opulente poitrine veut enfanter et cela la rend particulièrement belle. Elle me donne tous ses désirs, toute sa sensualité, elle se donne entièrement à moi et participe tout autant que moi à la conception de notre enfant. Je la pénètre en profondeur, je veux lui donner tout ce que j’ai.
    
    Des mois que je n’ai pas fait l’amour sans préservatif, il fallait que cela tombe sur ma cousine. Mais pour l’heure, je suis loin de penser à la maladie, je me déchaîne entre ses reins. J’accélère encore la ...
    ... cadence, je la sens venir, je la sens bientôt jouir. Au dernier moment, je m’épanche en elle et nous jouissons de concert, parfaitement synchrones dans notre plaisir. Je la remplis alors de cette semence dont elle a tant envie. Puis je retombe lourdement contre elle ; elle me serre contre son corps, me caresse dans le cou et m’embrasse avec tendresse. Elle est toute chatte après l’amour, elle ronronne tout contre moi, elle n’a aucune envie que je me retire, bien au contraire, elle souhaite me conserver au risque que je l’écrase.
    
    — C’était très bon, Jean-Louis, vraiment très, très bon.
    
    Je suis flatté, elle n’arrête pas de me dire qu’elle a beaucoup aimé, qu’elle en avait envie depuis longtemps mais que l’occasion ne s’était jamais présentée.
    
    — Et tu le veux vraiment cet enfant ?
    — Ce serait le plus beau des cadeaux que tu pourrais me faire… Promets-moi que nous recommencerons… souvent. Promets-moi que tu me le feras, ce joli bébé.
    — Je te le promets.
    
    Nous nous endormons un instant enlacés l’un à l’autre, mais la nature criarde nous sort de notre émoi : des grillons qui bruissent dans les hautes herbes, un poisson qui saute dans le ruisseau. Nous nous rhabillons lentement à contrecœur. Je lui aurais bien refait l’amour, mais le ciel vient de se couvrir, le temps est à l’orage. Il va falloir nous dépêcher si nous ne voulons pas prendre une saucée. Nous rentrons à la maison main dans la main, heureux et guillerets, ravis de cette union naissante.
    
    Nous avons refait ...