1. Ma cousine amoureuse


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, Inceste / Tabou gros(ses), grosseins, groscul, vacances, campagne, amour, Oral pénétratio, Auteur: Eton, Source: Revebebe

    ... il y avait eu aussi cette autre fois où nous chahutions dans la piscine. Je m’amusais à défaire son maillot, je la faisais tourner en bourrique. Mais à force de voir ses seins qui rentraient et qui ressortaient de son haut, qu’elle essayait de camoufler mais qui débordaient sans cesse malgré elle, je m’étais mis à bander. Je l’avais coincée contre le bord de la piscine, et avais frotté lentement mon sexe contre son bas-ventre. S’en était-elle aperçue ? Probablement, mais elle n’avait fait aucun commentaire à ce sujet, ni à l’époque, ni plus tard.
    
    Ma cousine, c’était aussi plein de petits détails, des bons souvenirs qui me revenaient : un petit bout de sein entraperçu, des attouchements volés, des regards un peu tendancieux… Il y avait toujours eu quelque chose d’indéniablement sexuel entre nous.
    
    Et maintenant je la regarde, allongée de tout son long ; elle a encore grossi durant l’année passée, elle a désormais un double menton. Mais, peu importe, c’est vrai qu’elle me plaît. Elle m’a toujours plu, je l’ai toujours trouvée excitante, malgré son embonpoint.
    
    C’est alors qu’elle ouvre les yeux et qu’elle me voit la regarder :
    
    — Tu m’admires, Jean-Louis ? Je te plais ? Tu me trouves à ton goût ?
    — Tu m’as toujours beaucoup plu, Paule.
    — Et tu n’as jamais eu envie de coucher avec moi ?
    — Oh si, souvent, mais nous étions cousins.
    — À trente ans, je crois qu’il y a prescription, nous sommes majeurs et vaccinés. Moi, tu vois, le soleil qui réchauffe mon corps, cela ...
    ... me donne des idées, et, avec toi à mes côtés, j’ai envie de beaucoup de choses.
    
    Est-ce une invitation ? Oui, c’en est une, car je la vois passer lentement sa main sur sa poitrine, comme si elle voulait me provoquer.
    
    Je m’approche alors d’elle, pose mes lèvres sur les siennes. Elle accepte le baiser, nos langues s’enlacent, j’en profite pour caresser ses formes. C’est cela qu’elle veut, elle en soupire d’aise, elle a envie que je m’occupe d’elle. Je l’aide ensuite à se déshabiller, à retirer son pantalon. Elle se retrouve bientôt complètement nue, sa chatte est large et accueillante, son ventre obèse et débordant, elle se laisse toucher et embrasser partout, elle est lascive. Elle prend même quelques initiatives, elle sort mon sexe pour l’admirer, pour le lécher, pour le sucer. C’est hyper-excitant de voir ma cousine à quatre pattes remuer son gros derrière en me pompant la queue. Paule suce en plus hyper-bien, elle a de l’expérience. Et de voir ses grosses fesses se dandiner, je sens que je vais exploser. Mais elle sait où il faut s’arrêter, elle souhaite que je la prenne, elle désire être baisée :
    
    — Engrosse-moi, réclame-t-elle. Fais-moi un petit bébé ! J’ai envie d’un enfant de toi.
    
    Je vois dans ses yeux qu’elle est sérieuse, elle dit vrai ! L’enfant qu’elle n’a pu avoir avec d’autres, elle souhaite vraiment l’avoir avec moi. J’apprendrai un peu plus tard qu’elle a calculé son coup : elle a choisi précisément cette semaine de vacances car elle sait qu’elle sera ...