1. Ma cousine amoureuse


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, Inceste / Tabou gros(ses), grosseins, groscul, vacances, campagne, amour, Oral pénétratio, Auteur: Eton, Source: Revebebe

    ... dans l’herbe, l’eau s’écoulait paisiblement à nos pieds. Je regarde dans sa direction et remarque que sa poitrine était toujours aussi grosse, sinon plus. C’est une femme qui a des formes et qui ne peut pas les cacher.
    
    — Une autre fois aussi, tu m’avais embrassée. Nous revenions en vélo de la piscine. Et plutôt que de prendre la route, tu m’avais fait passer dans des petits chemins et tu m’avais fait le coup de la panne. Tu en avais profité pour me bécoter.
    — Tu exagères ! C’est toi qui avais voulu que l’on s’embrasse.
    — Je ne me rappelle pas de ça. En tout cas, tu ne t’étais pas gêné pour me faire rouler dans l’herbe.
    — Peut-être, mais au départ c’est quand même toi qui t’étais arrêtée sous un prétexte futile et qui m’avais volé un baiser.
    — Tu ne vas quand même pas dire aussi que je t’avais violé ! Par contre, toi, tu ne t’étais pas gêné pour me peloter la poitrine, tu étais comme un fou. Si je ne t’en avais pas empêché, si je ne t’avais pas fait entendre raison, je crois que j’aurais vraiment passé un sale quart d’heure.
    — Ou alors un bien agréable moment…
    — Peut-être aussi… Si tu n’avais pas été mon cousin, nous l’aurions peut-être fait. Les nuits suivantes, je sais que j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir car tu m’avais beaucoup troublée.
    
    Pour en avoir discuté au téléphone, je sais que Paule sort ces temps-ci d’une déception sentimentale, un gros chagrin d’amour. Dans sa vie de femme, elle a connu pas mal de déboires amoureux, et depuis quelques mois elle vit ...
    ... seule ; elle a besoin de se ressourcer.
    
    Moi, de mon côté, je suis libre comme l’air. J’ai vécu plus d’un an avec une collègue antillaise mais nous avons décidé d’un commun accord de nous séparer. Elle aurait bien voulu se marier, avoir des enfants avec moi, mais je suis beaucoup trop égoïste pour fonder famille, alors tant pis, j’ai préféré laisser tomber. Je me suis rabattu récemment sur une jeune femme d’origine polonaise, beaucoup plus jeune que moi, avec qui j’entretiens des rapports tumultueux. Nous ne vivons pas ensemble, elle est encore chez ses parents, mais lorsque nous faisons l’amour, cela fait souvent des étincelles. Joséphine est tout le contraire de Paule, elle est fine, blonde, élancée, pleine de vitalité et d’entrain, alors que ma cousine ressemble plus à une grosse dondon apathique, qui se laisse vivre sans s’énerver. Pas étonnant qu’elle soit énorme, elle bouffe vraiment comme quatre. Même entre les repas, elle n’arrête pas de grignoter, un moyen peut-être pour elle de compenser.
    
    Alanguie dans les herbes folles, elle ferme les yeux, son visage bien rond inondé par le soleil. C’est pourtant vrai que je l’avais, à l’époque, embrassée et caressée. Ce ne fut pas la seule fois d’ailleurs : une autre fois nous avions été en boîte et j’avais profité de l’obscurité pour la peloter et lui donner des baisers. Elle avait beau être ma cousine, elle n’avait pas dit « non », mais elle avait mis cette incartade sur le compte de l’excédent d’alcool. Et puis, surtout, ...
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