1. Ma cousine amoureuse


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, Inceste / Tabou gros(ses), grosseins, groscul, vacances, campagne, amour, Oral pénétratio, Auteur: Eton, Source: Revebebe

    Paule est une de mes cousines du côté de mon père, plus exactement c’est la fille cadette de sa sœur aînée. Elle a aujourd’hui la trentaine, deux ans de moins que moi.
    
    Gamine, elle venait souvent en vacances chez nous avec ses deux sœurs. Ses parents habitaient la région parisienne ; ils n’étaient pas spécialement riches, et placer leurs filles quelques jours à la campagne était un bon moyen pour eux de leur offrir un certain dépaysement. Les trois mouflettes n’étaient pas désagréables, juste un peu envahissantes. Mes parents les recevaient toujours avec plaisir, cela mettait de l’ambiance à la maison. Paule était de loin la plus timide des trois. Petite et boudinée, elle était comme asphyxiée par ses sœurs exubérantes qui décidaient toujours tout pour elle.
    
    Plus tard, à l’adolescence, les sœurs aînées n’eurent plus envie de venir chez nous. Seule Paule resta fidèle à ses souvenirs. Nous avions vraiment passé de bons moments et elle aimait à les retrouver ; une tendre complicité nous unissait. L’âge ingrat eut une réelle signification pour ma cousine car elle devint encore plus grosse et boutonneuse. Les garçons du village n’arrêtaient pas de la charrier à cause de son gros cul. Elle s’affina ensuite un peu, l’année de ses vingt ans, mais ne devint jamais une femme radieuse et épanouie comme ses deux sœurs. Elle resta effacée et austère, traumatisée par son physique de femme forte. Elle était pour tous le petit boudin, la petite grosse que l’on charrie, celle que l’on ...
    ... tourne volontiers en bourrique.
    
    * * *
    
    À trente ans passés, j’habite à la ville mais j’aime toujours de temps en temps revenir chez mes parents, pour me ressourcer auprès de mes racines. Paule est tout comme moi. Souvent, nous nous octroyons une petite semaine, l’été pour nous retrouver, comme au bon vieux temps. Cette année, nous avons pris ces quelques jours début août, trop contents d’échapper au tumulte des plages. Le lendemain de notre arrivée, nous partions faire une balade au bord de la rivière.
    
    — Tu te souviens quand tu avais construit un radeau avec une bouée et que tu m’avais emmenée en expédition dans le marais qui se trouve en amont ?
    
    Je me souvenais effectivement : l’embarcation s’était retournée à un endroit où il y avait beaucoup de vase. Je m’étais mis à paniquer et avais eu toutes les peines du monde à extraire ma cousine du mauvais pas où je l’avais fourrée. Lorsqu’elle était ressortie de l’eau, elle était toute couverte de bouillasse, c’était dégueulasse, cela dégoulinait de partout. Nous étions ensuite allés jusqu’à un petit ruisseau pour qu’elle puisse se laver. C’est une des premières fois où j’avais vu sa poitrine nue. Elle devait avoir 15, 16 ans, elle était forte et déjà formée. Pour son âge, elle avait une poitrine vraiment énorme. Appuyé contre un arbre, je l’avais regardée un long moment se nettoyer et la vision de ses seins avait provoqué chez moi un début d’érection. Pourquoi me reparlait-elle de cet épisode ?
    
    Nous étions allongés ...
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