Histoires de famille - Le Commencement. (3) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (3)

... attention et sursaute au contact de la crème.

— Ah oui c’est vrai que c’est froid. C’est même glacial, souffle-t-elle.

— Mais ça ne dure pas. Tu vas vite ressentir une douce chaleur, dis-je en appuyant un peu plus le bout de mon index afin d’y enfoncer dedans ma première phalangette.

— Humm... C’est vrai oui. Ca me chauffe déjà là.

— Regarde mon doigt est dedans et je suis certain que tu le sens à peine.

— C’est vrai oui. Mais tu mets aussi de la crème à l’intérieur ?

— Seulement au bord ma belle. Humm... Magnifique... Tu as un anus magnifique, dis-je en continuant d’imprégner de crème l’entrée de l’orifice.

— Humm. Ca y est ça chauffe aussi dedans. Tu avais raison. Humm... C’est une bonne sensation.

— J’ai toujours raison, dis-je en souriant. La chaleur va s’atténuer et tu ne vas plus rien sentir. Cela va redevenir comme avant. Et au contact de ma queue, les sensations vont revenir de suite.

— Et... Cela dure longtemps ? L’effet de cette crème ?

— Cela dépend de la quantité qu’on met. Mais avec ce que j’ai mis là, tu en as pour 3 ou 4 heures.

— Tu veux dire que pendant 3 ou 4 heures tu peux me sodomiser comme tu veux et j’aurais pas mal ?

— C’est ça oui. Mais cette crème agit aussi beaucoup sur la queue aussi. Elle chauffe et hypersensibilise à mort le gland et pour le mec c’est compliqué de tenir longtemps aussi tu comprends ?

Elle hoche la tête tout en me regardant sortir mon index de son orifice.

— Par contre, je te touche pas la ...

... chatte sinon elle va être hyper-sensibilisée aussi par la crème et franchement tu en as pas besoin.

— Mais ça excite aussi la chatte ?

— Bien sûr ma belle. Ça fait le même effet. Même pire que l’anus. Cela excite encore plus fort les lèvres, les muqueuses du vagin et je te dis pas le clitoris. Dès que tu la caresses ou que tu la pénètres, je te dis pas, tu grimpes aux rideaux. Toi, tu jouirais même instantanément.

— A ce point ?

— A ce point oui. C’est pour ça qu’il faut pas trop en mettre sinon cela peut brûler les chairs.

— Ah oui carrément.

Tout en parlant pour la décontracter, je me place à genoux devant son cul et mon gland touche sa fesse droite.

Je me penche en avant au-dessus d’elle pour venir l’embrasser à pleine bouche.

Ma langue remplit sa bouche et la fouille dans tous les sens pour l’exciter à nouveau.

— A mon tour de me faire plaisir, dis-je en grognant au-dessus d’elle.

— Doucement s’te plaît. Oublie pas que tu es énorme pour moi.

— T’en fais pas. Je vais en prendre soin de ton petit cul.

Je me redresse sur mes genoux. Ma queue est droite contre mon ventre. Épaisse, lourde, veinée. Le gland est violacé et agressif.

Je prends ma queue à la base et je commence à caresser l’anus avec le gland.

Elle se contracte légèrement à la vue de mon gland sur son anus.

Je la regarde. Elle a les yeux rivés sur ma queue et se mord les lèvres, en attente de la pénétration.

Je pousse un petit peu plus et mon gland violacé et profilé ...