Histoires de famille - Le Commencement. (3) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (3)

Toujours allongé sur elle, les cuisses écartées, je lui maintiens les poignets de chaque côté de sa tête, elle arrête d’onduler sous moi.

Elle respire difficilement avec mon poids et je lis une certaine appréhension dans ses yeux.

— Tu as jamais été sodomisée ? C’est ça ?

— Je... Si... Mais que deux fois.

— Seulement deux fois dans toute ta vie ? C’est pas possible ?

— Je t’assure Gé. Deux fois et comme j’ai eu mal, j’ai jamais voulu recommencer.

— Et avec qui as-tu fait ça ?

— Avec mon mari d’abord et la seconde fois avec un mec que j’avais rencontré en boîte. Mais j’ai vraiment eu mal, tu sais.

— C’est parce qu’ils ont pas su y faire ma belle. Un anus, ça se prépare. Quand la femme est pas habituée, on entre pas dedans comme un bûcheron.

Je replonge mon visage dans son cou pour venir à nouveau lui dévorer l’oreille et lui mordre le cou.

Elle se met à gémir et à onduler à nouveau doucement sous moi.

— Oui... humm... !! Mais... Ton... Ton sexe est bien trop gros pour moi. Il va me déchirer Gé, souffle-t-elle en m’offrant son cou.

— T’en fais pas pour ça ma belle. J’ai tout ce qu’il faut sur la table de chevet pour que tu aies pas mal. Depuis des années que j’encule des femmes, jamais j’ai fait mal à une seule. En tout cas jamais une ne s’est plainte.

Je mordille et lèche encore plus son cou et oreille et j’ondule du bassin pour bien lui faire sentir ma queue bandante sur son ventre.

Je sens sa chair de poule, ses tétons très durs ...

... sur mon torse.

— Humm... Gé... humm... Je... Mais... je... !!

— Écoute-moi bien, lui dis-je en serrant plus fort ses poignets tout en lui léchant doucement le visage. Pour moi, c’est très important d’enculer la femme que je baise. Surtout la première fois. Quand je baise une femme, je le fais par ses trois orifices tu entends ? Et souviens-toi ma belle, dis-je en chuchotant à son oreille. Je t’ai dit que pour moi, le cul, c’est la chose la plus belle et la plus importante du corps d’une femelle. Pour moi, posséder le cul d’une femme... C’est posséder « LA » femme.

— Oui... Oui... Je sais que c’est important pour toi... Mais... je veux pas avoir mal...

— Tu auras pas mal... Crois-en mon expérience ma belle. Mais pour le moment, je vais te bouffer la chatte... et ton sublime petit cul aussi.

Je me redresse sur mes genoux entre ses cuisses écartées.

— Offre-moi tout ça que je puisse bien me régaler, dis-je dans un souffle.

Elle place ses deux mains sous la pliure de ses genoux et les remonte vers sa poitrine en les ouvrant.

— Pas mal, pas mal. Mais je suis certain que tu peux encore mieux faire. Tu es souple, tu peux faire beaucoup mieux.

— Tu veux que je fasse comment ?

— Attend... déjà on va mettre ça sous tes fesses.

J’attrape un des oreillers et le glisse sous le bas de son dos afin de lui faire remonter le bassin...

— Voilà c’est déjà mieux. Maintenant, tu prends tes talons ou tes chevilles en passant tes bras entre tes mollets et tu les ...