Histoires de famille - Le Commencement. (3) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (3)

... tires vers ta tête. Écarte tes genoux aussi pour que je puisse bien voir tes seins. Voilà... Superbe. Soulève ta tête.

Je glisse le second oreiller sous sa tête afin de la rehausser pour qu’elle puisse bien voir le spectacle.

— Voilà. Super comme ça. Tu es bien là dans cette position ? Tu vois bien aussi ?

— Oui. Ca va oui, me répond-elle en se regardant ouverte, offerte. Je vois bien.

— C’est comme ça que j’aime voir ma femelle offerte, lui dis-je en lui caressant l’intérieur des cuisses et en dévorant des yeux sa petite chatte aux lèvres fines et rosâtres entrouvertes du fait de la position.

Sa fente vulvaire est vraiment courte, ce qui donne vraiment l’impression que sa chatte est seulement un vagin, un « trou ».

Et a quelques centimètres de cet orifice, juste en dessous, cet anus qui dans cette position a les chairs bien tendues.

A genoux devant ses fesses, je me rapproche d’elles jusqu’à ce que je les touche.

Je pose ma queue bandante, épaisse, lourde sur sa chatte, et je me penche en avant pour venir malaxer à pleine main ses petits seins.

Mes doigts pincent, tournent et étirent ses tétons durs.

Elle me fixe dans les yeux en mordillant fortement ses lèvres, les narines palpitantes.

— Chutt... Tu ne jouis pas. Tu entends ? Tu te retiens le plus possible.

Elle me répond en hochant précipitamment sa tête.

Je continue le travail de ses tétons tout en faisant glisser lentement mon pieu sur ses lèvres. Je sens la chaleur que ...

... dégage sa chatte le long de ma hampe.

Je remarque qu’elle serre très fort ses talons avec ses mains.

Elle respire fort et vite. Elle est à nouveau très excitée.

Je prends ma queue dans ma main droite et la fais claquer doucement sur sa chatte.

Elle gémit doucement.

— Tu es magnifique comme ça. Tu vas bientôt être toute à moi, dis-je en la fixant dans les yeux.

Je recule un peu mes genoux pour me pencher en avant et approcher mon visage de sa chatte et son cul ainsi offert.

Avec mes mains, je caresse le dessous de ses cuisses et ses fesses jusqu’au plus près de sa chatte et son anus, mais sans les toucher.

Je viens déposer des petits baisers au plus près de ses lèvres et de son anus.

Je respire fort les effluves enivrants qui émanent de ses deux orifices.

Je lève les yeux vers elle. Elle est tendue à l’extrême. Elle me fixe tout en respirant la bouche entrouverte.

Je m’amuse à lécher le long des lèvres sans les toucher, là où la peau est très sensible. Elle sursaute au contact de ma langue. Son bassin bouge lentement.

Je me redresse et avec mes deux mains, je viens ouvrir, écarter ses lèvres pour bien exposer l’intérieur de sa chatte.

Je les ouvre au maximum. Les chairs rosâtres à l’entrée du vagin palpitent toutes seules. Le clitoris se découvre aussi. Un petit bouton de chair tout rose et turgescent tellement qu’il est excité.

— Tu vois comme c’est beau, dis-je tout doucement sans pouvoir détacher mes yeux de cette magnifique chatte ...