Histoires de famille - Le Commencement. (3) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (3)

... sexe épais m’ouvrir, me remplir jusqu’au fond, coulisser en moi... Hummm...

C’est la première fois que j’ai la sensation aussi forte d’être « femme ». D’être une « femelle » comme il me l’a dit plusieurs fois d’ailleurs. »

— Il a éjaculé sur mon visage, j’ai avalé son sperme et j’ai aimé ça. Cela m’a excité de sentir son sperme sur mon visage. J’ai aussi aimé cette odeur forte sur moi et ce goût âpre en bouche. Mon Dieu... C’est épais, visqueux, très fort et âpre au goût, mais j’ai aimé ça. C’est pas possible... Mais j’ai fait quoi là.

— Et pour finir, j’ai accepté d’être sodomisée.

— S-o-d-o-m-i-s-é-e, quoi ! «

— J’ai été sodomisée seulement par deux fois et par deux sexes aux dimensions normales, je dirais et j’ai eu mal les deux fois, et là... avec un sexe bien plus gros et très très dur, j’ai pas eu mal et j’ai même aimé ça. J’ai aimé voir son sexe pénétrer mon anus et jusqu’aux bourses.

« C’est pas possible... Non... C’est pas possible... Mais qu’est-ce qui m’arrive ? «

« Si mes filles et mon fils savaient ça. Mon Dieu... Ils se diraient que leur mère est devenue une « salope.» Je n’ai jamais été aussi souvent insultée aussi. Et je n’ai rien dit. J’ai accepté et ça aussi j’ai aimé. Il faut vraiment que je me reprenne là. »

Perdue dans ses pensées, Mercedes termine de se doucher.

Debout face au miroir, elle constate les traits tirés de son visage. Des traits tirés par le plaisir et la fatigue. Ses petits yeux verts paraissent être encore ...

... plus enfoncés dans leurs orbites et des cernes de fatigues apparaissent au-dessus de ses pommettes proéminentes.

Elle sent des courbatures au niveau des hanches. Malgré sa petite taille et sa souplesse, c’est la première fois qu’elle se fait prendre aussi longtemps et aussi fort dans une position où elle était pliée en deux.

Elle se dit aussi qu’il faudra qu’elle approfondisse la discussion au sujet des besoins sexuels de Gérard. C’est la première fois qu’elle rencontre un homme comme ça.

— Il faut que je dorme. Demain mes enfants viennent me voir et il faut que je sois reposée, se dit-elle.

Elle pose la serviette sur le séchoir mural et retourne dans la chambre.

*******

Son entrée dans la chambre me tire de ma torpeur.

— Ca y est ma belle ? Tu es toute fraîche, dis-je en souriant.

— Oui, mais toute fraîche pour dormir je te préviens. Je suis vraiment fatiguée là et il faut que je dorme, précise-t-elle en s’allongeant sur le côté gauche du lit. Demain mes enfants viennent et je peux pas être « crevée ». Tu comprends ? Ce sont mes enfants.

— Aucun souci ma belle. Je comprends et c’est tout à fait normal. D’ailleurs, je partirais avant qu’ils arrivent afin que tu sois tranquille avec eux. Je veux pas déranger.

Je me lève et me dirige vers la salle de bain.

— On en reparlera demain matin si tu le veux bien. Ou plutôt tout à l’heure, dit-elle en jetant un œil sur le radio réveil et en se tournant sur son côté gauche pour s’endormir.

— Comme tu ...