Histoires de famille - Le Commencement. (3) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (3)

... marqués.

Elle gémit sourdement sans discontinuer en serrant très fort ses deux mains autour de ses chevilles.

— Tu as l’air d’aimer ça dis donc salope, lui dis-je sèchement.

— Oui... Oui... J’ai... humm... Ca me fait des choses, me dit-elle en déglutissant.

— Tant mieux alors. Je vais pouvoir me lâcher.

Je serre plus fort la tête du lit métallique et commence à m’activer plus rapidement dans son cul en grognant plus fort.

Mes coups de reins sont fluides et plus rapides.

Je regarde ma bite l’enculer sur toute sa longueur.

Son sphincter ne s’est toujours pas dilaté et enserre toujours ma queue.

Je transpire de plus en plus. Des gouttes de sueur tombent sur ses seins dont les tétons sont érigés, tendus comme la première phalangette de mon auriculaire.

— Rrhhhâââ... Putain... mais... putain que t’es bonne à enculer... rrrhhhâââ... !

J’accélère les coups de reins. Le sommier métallique fait du bruit et la tête du lit que je tiens fermement, tape contre le mur.

Je râle. Je grogne. Je transpire.

— Putain... Je vais juter... je vais... aargghh... juter ! Je vais te remplir le cul salope...

Elle a le visage crispé. La bouche ouverte, elle gémit sourdement.

Je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer, à lui remplir le cul.

Ma queue me brûle, je sens le sperme monter dans mon urètre.

Je lâche de ma main gauche la tête de lit et viens masturber avec mon pouce son clito turgescent.

L’effet est immédiat. Sa tête part en arrière ...

... violemment et ses ongles s’enfoncent dans la peau de ses chevilles. Son corps est pris de soubresauts incontrôlés pendant que je m’enfonce virilement une dernière fois dans son anus pour lâcher en plusieurs giclées ma semence dans son rectum.

— Aarghh... !! Tiens putain... tiens... aaarghh... la salope... aarghh... tiens... !

Je me vide en elle en grognant comme une bête.

Ma tête me tourne, ma queue plantée à fond me brûle.

Tout en éjaculant, je continue de lui branler le clitoris. Son anus se contracte autour de mon sexe au rythme des soubresauts de son corps.

— Ouiii... ouuii... c’est bon... oui... c’est bon... c’est bon... c’est bon... ! Je jouis... je jouis... oui... je... jooouuuuiiiiiis... !

Je continue de lui branler le clitoris pendant encore de longues minutes.

— Arrête... Arrête... s’te plaît... stop... gémit-elle, en posant sa main droite sur ma main. J’en peux plus Gérard. J’en peux plus...

Je reprends à deux mains la tête de lit et reste planté profondément en elle sans bouger.

Elle est toujours dans la même position sous moi, mais son corps s’est détendu après son orgasme. Son sphincter aussi et je ressens moins de pression autour de mon pieu.

J’en profite pour affirmer ma domination de mâle et lui donne trois ou quatre coups de reins secs et profonds.

Le lit tape dans le mur à chaque fois et elle gémit sourdement à chaque coup.

J’approche mon visage du sien et viens l’embrasser à pleine bouche. Puis je l’embrasse dans le cou et le ...