Jour de grève (1)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
inconnu,
train,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
pénétratio,
conte,
Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe
... ma veste, l’ouvre en grand pour faire sortir mes seins, les prendre à pleine main et triturer mes tétons durci par l’excitation. Je perds toute notion de danger. Je ne sais plus très bien où je suis. Le pouce quitte mon humidité pour venir prendre ma main et la plaquer sur la braguette du jeune. Devant mon manque de réaction, il entreprend de l’ouvrir lui-même, et sort une queue gorgée à ras bord de plaisir, qu’il me met dans la main. Elle est très dure, très douce, et presque sans m’en apercevoir, dans ce tourbillon de folie, je le masturbe tout doucement.
Sa main libérée vient rejoindre celle du quinqua, sur mes seins. Mon sexe, trempé, bouillant, ne se rend pas tout de suite compte que ce qui vient de le toucher n’est en rien une main ou un pouce. L’homme du quai a lui aussi sorti son sexe, et l’applique sur ma fente. Après plusieurs tentatives, il parvient à me prendre, là, au milieu de tous ces inconnus, et sans être vu. Il fait un très léger mouvement de va-et-vient, profitant de tout les à-coups de la rame. Un éclair de lucidité me fait dire que si il jouissait je serais très ennuyée pour rentrer. J’ai à peine fini ma réflexion qu’une giclée chaude s’écoule en jets saccadés sur ma cuisse. Le jeune vient de jouir sur moi, j’en ai plein les mains, mais tout va trop vite et je ne parviens plus à gérer mon cerveau. Une seule chose me vient à l’esprit ; il ne faut pas que le sperme coule sur mes bas, alors je lâche l’objet de mes ennuis, et m’applique à étaler la ...
... liqueur sur la peau de mes cuisses, allant même jusqu’à mes fesses. Je suis secouée une fois de plus, une décharge brûlante se déverse dans mon ventre, son sexe sort, il laisse retomber ma jambe. L’angoisse de la coulée me reprend et me met en panique, je reprends sa queue et la frotte sur ma vulve, comme pour faire pénétrer sa liqueur, mais sentant que cela ne suffira pas, j’entreprends de me masser la chatte avec la main. C’est chaud, gluant, et contre toute attente je jouis. Je ferme les yeux, et retiens un léger cri. Je continue d’étaler le sperme, qui commence à sécher. Mes doigts sont collants, je suis contrainte de finir de les essuyer sur mon ventre. Le quinqua, lui, continu de me triturer les seins et semble s’en satisfaire. Je commence à reprendre mes esprits, du coup je recommence à rougir. Mon dieu, qu’ai je fait. Je dois être folle.
« Les voyageurs sont informés que le trafic est totalement interrompu sur l’ensemble du réseau. »
La voix du haut parleur finit par me sortir complètement de ma torpeur. Les gens sortent rapidement du wagon, ainsi que mes trois compères, me laissant en plan, jupe relevée et seins à l’air.
Je me retourne promptement face à la porte, je rabaisse ma jupe et reboutonne ma veste en prenant garde de ne pas la tacher, car mes doigts sont encore couverts de semence gluante. Je lève la tête et je vois sur le quai d’en face, deux clochards qui n’ont pas perdu une miette du spectacle que je viens de leur offrir. J’ai chaud et je crois que je ...