1. Jour de grève (1)


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fhhh, hplusag, inconnu, train, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, pénétratio, conte, Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe

    ... son pantalon, il se frotte contre la fente de mon cul, je suis paralysée par la trouille, mais si ce n’était pas la crainte d’être surprise, j’y trouverais du plaisir. Un coup de frein, plus fort que les autres, nous fait tous vaciller. En une fraction de seconde je vois les yeux du jeune homme se baisser, s’écarquiller, et sa bouche s’ouvrir. Je me sens vraiment très mal. Je sais qu’il a vu ce que faisait l’homme du quai derrière moi, je sais qu’il a compris que je ne disais rien et que je laissais faire. Quelle allait être sa réaction ?
    
    Il rougit légèrement, lève les yeux au ciel comme si il n’avait rien vu, et appose, lui aussi, une main sur le côté de ma jambe. Ses doigts glissent sur mon bas, puis remontent au-dessus de la couture et s’aventurent sur le devant de ma cuisse. La pivoine, que je suis devenue, ferme les yeux quelques instants, juste quelques secondes pour tenter de comprendre si dans l’ouragan qui dévaste mes pensées se trouve un soupçon de plaisir, ou n’est ce que de la peur, de celle qui vous paralyse sur place. Je n’ai pas le temps de trouver la réponse. J’ouvre à nouveau les yeux très vite. Je viens de sentir quelque chose sur mon ventre. Je regarde le quinqua, il a les yeux baissés, sa vue plonge dans mon décolleté. Je comprends qu’il a glissé deux doigts entre le bouton du bas de ma veste et le suivant et me caresse doucement le ventre. Il relève les yeux, me regarde tendrement avec un léger sourire et ma respiration se bloque. Il vient de défaire ...
    ... le bouton du bas. Instinctivement je recule, à la plus grande joie de l’homme du quai, qui écarte d’un coup mes fesses et écrase sa boursouflure presque sur mon anus. Le jeune profite lui aussi de mon recul, et plaque sa main sur mon sexe que je devine humide, car il parvient à glisser un doigt sans aucune difficulté. Le quinqua, lui, profite de l’espace providentiellement fourni pour glisser sa main sous ma veste et me prendre un sein à pleine main. OK ! c’est bon, là j’ai vraiment peur, ma jupe est entièrement relevée, mon ventre est à l’air, et je ne dois mon salut qu’à la foule qui fait paravent.
    
    Je suis tétanisée. Le jeune me masturbe le clito…mon amie avait raison, la peur peut multiplier le plaisir… je vais jouir… je panique, tente de me dégager, mais rien y fait, bien au contraire. Profitant d’un mouvement de montée et de descente de passagers, ils parviennent à me coller contre la porte du fond, dans l’angle du wagon. J’ai été trop loin, je suis prisonnière de mon propre jeu et je ne peux plus rien dire, d’ailleurs, même si je le voulais, aucun son ne pourrait sortir de ma bouche tant j’ai peur. Le jeune, appuyé contre la paroi, fait pénétrer son pouce droit au plus profond de mon puis d’amour son autre main malaxe ma fesse droite. Près de lui, l’homme du quai, dans un mouvement rapide et précis, soulève ma jambe gauche en plaçant sa main sous mon genou. Je crois défaillir, quand debout sur une jambe, un pouce dans le sexe, le quinqua à ma gauche, déboutonne toute ...