Jour de grève (1)
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
fhhh,
hplusag,
inconnu,
train,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
pénétratio,
conte,
Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe
... homme d’une cinquantaine d’années, visiblement il souffre de ce manque d’espace et grimace un peu. À ma gauche, un type a réussi à plier son journal, et le tenant appuyé sur le dos de la personne devant lui lit les dernières nouvelles. À ma droite, un autre homme, plus jeune, plutôt pas mal, essaye de trouver un endroit où se tenir, le pauvre, il se retrouve avec un bras en l’air et se tient avec deux doigts contre la paroi.
Peu de femmes dans cette rame, les jours de grève elles sont nombreuses à préférer marcher. Voilà, je peux enfin commencer à jouer avec mes sens. Je tiens la barre de la main gauche et mon épaule est collée à celle du liseur de journaux. Mon bras droit est à quarante cinq degrés, ma main tient la lanière de mon sac, et le dos de celle-ci est directement posé sur les abdos du jeune homme. Ah ! si j’osais, j’appuierais plus fort pour voir si il est très musclé, mais bon ! le plus important, pour le moment est de sentir ma poitrine, écrasée contre celle du quinquagénaire, se frotter contre lui au rythme des secousses. J’ai envie de plaquer mon ventre contre le sien mais faire une chose comme ça serait insensé, pourtant, je le fais, mais instinctivement, par réflexe, car je viens de sentir une légère caresse sur mes fesses et je suis surprise. Le quinqua aussi est surpris et me regarde avec des yeux tout ronds. Le rouge remonte à mes joues. Je lui fais une petite grimace en signe d’excuse. Il a dû comprendre le message et me sourit légèrement. Je pense ...
... que mon agresseur est le jeune homme, mais le pauvre a tellement de mal à arriver à s’agripper quelque part, que ce ne peut être lui. Derrière moi, la caresse se fait plus présente, plus insistante. Impossible de me retourner, mais pendant un court instant, dans le reflet de la porte, je peux voir le visage de la personne qui se tient derrière moi, et je la reconnais de suite. L’homme du quai. C’est bien lui et visiblement je ne suis pas parano, maintenant j’en suis sûre.
Il passe le dos de sa main doucement d’une fesse à l’autre, en appuyant de plus en plus fort. Mon sang se glace quand il prend ma fesse droite à pleine main et commence à la malaxer. J’avoue que j’ai peur, mais pourtant je laisse faire. Mon cœur fait des bonds dans ma poitrine. Devant mon manque de réaction il prend confiance en lui, et applique son autre main sur ma fesse gauche. Il caresse mon cul sans ménagement, et il va forcément sentir que mes fesses sont nues. OUI ! Bien sûr qu’il l’a senti, et son sang à l’inverse du mien doit bouillir. Tout en me caressant, je le sens remonter ma jupe lentement, puis son petit doigt touche la couture de mes bas. Il remonte un peu et … c’est le contact avec ma peau. Il va doucement, continue de remonter le tissu, et d’un coup applique ses mains directement sur mes fesses. Il monte ses mains très haut sur ma croupe et les redescend jusqu’à mes cuisses sur mes bas. Puis il les met de chaque côté de mes hanches, serre et me plaque contre lui. Je sens le renflement dans ...