1. Potins et popotins


    Datte: 07/03/2022, Catégories: fh, hplusag, médical, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, BDSM / Fétichisme pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, sm, fouetfesse, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... laquelle je m’attendais :
    
    — Damien est mort ? Vraiment mort ? Définitivement mort ?
    — Pas de doute là-dessus…
    
    Elle est à la fois prostrée et soulagée. Poussé par un mouvement instinctif, je caresse délicatement ses cheveux. C’est alors qu’elle ouvre les vannes et déverse tout ce qu’elle conservait pour elle depuis des années.
    
    J’apprends en quelques instants qu’elle était la babiole de son mari qui l’exhibait un peu partout, et qui se servait d’elle comme monnaie d’échange auprès d’autres personnes. Ce qui l’a sauvée en quelque sorte, c’est que son époux la mettait sur le même plan que sa voiture, et qu’il détestait qu’on abîme ses beaux jouets, et donc veillait au grain qu’on la rende intacte, sans éraflure ni bosse intempestive.
    
    Elle m’explique diverses pratiques et humiliations qu’elle a subies. Au départ, elle n’était pas contre le fait d’être une soumise, tout allait bien, puis ça a dérapé, surtout quand son mari s’est retiré partiellement des affaires à sa retraite. Petit à petit, elle a fini par trouver ça normal.
    
    — Et vous ne pouviez pas partir, le quitter ?
    — Pour aller où, Docteur ? Je n’ai pas de famille, pas d’amis, rien. Les seules personnes que je connaisse bien sont celles qui me dominent, qui profitent de moi.
    — Ah oui… dans ce cas…
    — De plus, Damien est assez gentil dans la vie courante, j’ai ce dont j’ai envie, mais il faut que je lui obéisse, c’est tout.
    
    En la serrant conte moi, je la console :
    
    — C’est fini, maintenant…
    — Pour lui, ...
    ... c’est fini. Mais moi, qu’est-ce que je vais devenir ? Je suis incapable de me suffire à moi-même. De plus, comment je vais gagner ma vie ?
    — Il y aura la pension de réversion de votre mari. Vous pouvez vendre votre maison pour acheter quelque chose de plus petit, et voir tranquillement la suite.
    — Oui, mais ça ne me dit pas qui va s’occuper de moi !
    
    Je crois comprendre le problème. Pour l’instant, l’urgent est que ma patiente se rétablisse. On verra la suite plus tard.
    
    Épuisée, elle finit par s’endormir sur le côté, ses fesses restant toujours douloureuses, mais c’est déjà moins pire qu’hier. Tandis qu’elle dort, je la regarde, me disant qu’il faut que je fasse quelque chose, mais quoi ?
    
    Mercredi matin, une fois de plus, j’applique le baume réparateur sur le somptueux popotin de ma patiente. Je commence à comprendre pourquoi son ex-mari avait une fixation sur son cul et avait quasiment condamné l’accès avant avec dix anneaux et cinq cadenas. Je reconnais que je dépasse un peu l’aspect professionnel et médical en continuant de masser délicatement ces deux magnifiques fesses. C’est un plaisir que je m’offre plusieurs fois par jour depuis dimanche.
    
    Ceci fait, je demande à ma patiente :
    
    — Alors, madame Skodanov, que fait-on pour les cadenas ?
    — Euh… je ne sais pas… Au fait, appelez-moi Clémentine, je préfère…
    — Si vous voulez, Clémentine. Revenons-en à ces fichus cadenas, vous ne pouvez pas rester ainsi éternellement.
    — Oh, vous avez que ça fait déjà bien des ...
«1...345...20»