Le grimoire
Datte: 04/03/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
profélève,
grossexe,
bizarre,
campagne,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
conte,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... avec sa chaise en jurant :
— Bou djieu d’nom de djieu
Tandis qu’il essayait de se ramasser et de retrouver ses esprits, une forme de plus en plus précise se constitua sur la table. Et quelle forme ! Une nana comme ça, y en avait que sur les magazines de cul. Des seins, des hanches, des fesses, des cheveux blonds vaporeux… «Le canon, pensa-t-il »
— Bonsoir, Maître. Merci de m’avoir libérée. Quinze ans enfermée là-dedans, je n’en pouvais plus.
La lumière revint, la belle fille nue sauta de la table, sa lourde poitrine accompagnant son mouvement de vastes sursauts. Rodolphe était muet, hébété, mais bandait déjà.
— La prochaine fois, tâchez de mettre ce machin par terre, ça m’évitera de me casser une jambe… Oh, dites donc, qu’est-ce que c’est moche ici. On est où ?
— Ben… Chez moi.
— Pauvre garçon. Et ça pue la friture. C’est pire que la sacristie. Au fait, comment le grimoire est-il en votre possession ?
— C’est moi qui ai démoli la sacristie.
— Ah d’accord. Et mon petit curé ?
— Mort et enterré depuis longtemps.
— Je l’aimais bien. Je me suis bien amusée avec lui. Avec vous, on va voir…
— Mais qui êtes-vous ?
— Un succube.
— ???…
— Une créature pour faire plaisir aux hommes. Ça vous va ?
— Euh… ben oui.
— Et comme vous m’avez libérée grâce au grimoire, je suis à vous autant que vous le voulez.
— Autant que je veux ? Co… comment ça « à moi » ?
— Il est mignon… (en s’asseyant sur ses genoux). Vous êtes mon maître, je vous appartiens tant que vous ne ...
... me remettrez pas dans le grimoire et qu’un autre ne m’en délivre. Et vous pouvez faire de moi tout ce que vous désirez. Je suis là pour ça.
— C’est que… J’ai pas l’habitude d’une dame comme ça. Vous vous appelez comment ?
— Vous m’appelez comme vous voulez, comme il vous plaît. Et… vous pouvez toucher.
Pendant quelques instants, Rodolphe était tellement éberlué qu’il en avait oublié de bander. Mais en posant ses grosses pattes sur les cuisses et les gros nichons qui s’offraient à lui, la forme revint vite. Comment allait-il l’appeler ? Martine, non, c’est comme la boulangère qui est beaucoup moins belle. Oui, comme celle du magazine, Mélissa. C’est ça, Mélissa, ça lui va bien.
— J’t’appellerai Mélissa. Et on se tutoie.
— Si tu veux, je suis Mélissa alors. Oh, mais dis donc, je sens quelque chose qui gonfle, petit coquin… Si on regardait ça de plus près… Wow, wow, wow T’es peut-être pas aussi cultivé que le petit curé, mais t’es rudement mieux équipé. Je vais me régaler avec toi. Mais qu’est-ce que ça pue. Va te laver mon cochon.
Il alla prendre une douche et se fit couler longtemps l’eau sur la tête. Était-il en train de rêver ? Il ferma le robinet d’eau chaude et la douche devint glacée. Non, il était bien réveillé. Quand il sortit de la salle d’eau, juste ceinturé d’une serviette, il ne trouva plus personne dans la cuisine. Mais la porte de la chambre était grande ouverte, la pulpeuse Mélissa l’attendait sur le lit. À vingt-huit ans, Rodolphe n’avait pas encore ...