1. Un jeune homme à la capitale (21)


    Datte: 01/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... Elle mouillait abondamment.
    
    En peu de temps, je fus de nouveau opérationnel. Ma tante s’interrompit, se plaça sur le dos, les fesses au bord du lit, les jambes pendantes, largement écartées, m’offrant son sexe grand ouvert dans lequel je me ruai les genoux sur le tapis...
    
    Je sentis Arlette derrière moi qui écartait mes fesses et introduisait un doigt mouillé dans mon anus. Cela décupla mon érection, comme sous douche lorsque tante Brigitte m’avait doigté le cul. J’écartais les cuisses pour faciliter l’intromission, mais son doigt se retira, remplacé par une langue fureteuse qui m’enduisait copieusement de salive. J’avais arrêté mes mouvements de bassin. Puis ma tante me serra dans ses bras et je sentis la pointe du godemiché forcer mon anus aidé par la salive dont il était enduit. Lorsque le gland pénétra, j’eus un cri de douleur, mais celle-ci fut remplacée rapidement par une sensation de gêne à mesure que l’engin me pénétrait. Je sentis enfin le socle buter contre mes fesses. Les mains d’Arlette se posèrent de chaque côté de mon bassin et elle commença de lents mouvements copulatoires. La gêne se transforma vite en une montée intense de plaisir. Ma queue enfichée dans le sexe de Brigitte me semblait avoir doublé de volume.
    
    J’accompagnai les mouvements d’Arlette qui accélérait et je fus bientôt pilonnant de toutes mes forces Brigitte tandis qu’Arlette me défonçait le cul. D’un côté, Brigitte entre deux râles de plaisir, m’encourageait :
    
    — Plus fort, défonce-moi, ...
    ... vas-y...
    
    De l’autre, j’entendais Arlette ânonner comme une litanie :
    
    — Tiens, prends ça. Tu aimes ça, prends ça...
    
    Ma tante partit la première, ce qui déclencha mon orgasme. Je m’effondrai sur elle. Arlette cessa ses mouvements, restant plantée dans mon cul. Puis elle sortit lentement. Je me retournai et souris en la voyant ainsi équipée. Je me penchais sur elle et lui chuchotais :
    
    — Nous sommes à égalité maintenant... Nous avons la même queue.
    
    Elle sourit et je lui administrai un long baiser auquel elle répondit. Puis, me repoussant sur le dos, elle s’empara de ma queue qu’elle enfourna sur toute sa longueur.
    
    — J’aime l’odeur de ta tante, me dit-elle en me suçant avec entrain.
    
    Ma tante se redressa et nous rejoignit. Leurs salives se mêlèrent et une nouvelle fois, je repris vigueur. Le sexe presque douloureux, je me demandai un instant si elles ne voulaient pas ma peau. Arlette fit signe à ma tante de monter sur moi et elle guida ma queue tandis que Brigitte s’empalait. Elle montait et descendait en gémissant tandis que sa lourde poitrine dansait devant mes yeux. Puis Alette poussa Brigitte sur mon torse faisant saillir sa croupe. Elle tâtonna et pénétra le cul de ma tante de son godemiché. Brigitte subissait des assauts des deux côtés à la fois et son orgasme fut instantané. Le mien survint rapidement, mais j’eus l’impression de ne plus avoir de sperme à éjaculer. Ma tante se laissa tomber sur le côté tandis qu’Arlette retirait son ustensile, le jetait ...