Un jeune homme à la capitale (21)
Datte: 01/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
— Putain ce que tu es bien foutue, dit Arlette qui se relevait péniblement. Et ces seins... Vise les miens...
Elle retira son maillot qui rejoint la robe de ma tante sur le sol. Ma tante se pencha et donna un petit coup de langue sur les mamelons des seins minuscules.
— Small is beautiful, disent les anglais.
Elles étaient toutes les deux nues face à face.
— Tu ne veux pas m’apporter un verre d’eau ? Me demanda Arlette.
Je partis dans la cuisine chercher de l’eau fraîche et lorsque je revins, Arlette était à genoux devant pas tante le nez dans sa toison.
— Tu as une drôle de démarche, constata ma tante.
— C‘est que mon pantalon est un peu serré.
Elle dégrafa ma ceinture et mon pantalon qui tomba sur mes chevilles. Elle libéra mon sexe de mon slip en baissant celui-ci. Retirant à la langue d’Arlette sa toison frisée, elle tomba à genoux. Elle était face à face et j’avançais mon sexe entre leurs deux visages. Immédiatement, ma tante entreprit une petite reconnaissance de ma verge et de mon gland à petits coups de langue. Arrivée à mon gland, elle enferma celui-ci dans sa bouche puis le relâcha. Le visage de ma camarade d’usine était à quelques centimètres de mon sexe, face à elle. Elle posa un baiser sur les lèvres d’Arlette puis remonta le long de ma queue avec sa langue, redescendit, goba mon gland et embrasse Arlette à pleine bouche. Je me gardai de tout mouvement, de toute parole, et bien m’en a pris, car alors que ma tante recommençait sa ...
... promenade le long de ma queue, je vis incrédule, Arlette sortir un petit bout de langue et lécher mon gland, à petits coups comme si elle voulait le goûter.
Puis elle s’enhardit et avec des coups de langue plus affirmés, elle remonta comme ma tante le long de ma hampe, chacune de son côté. Plusieurs fois, leurs langues se rencontrèrent, échangeant la salive dont elles enduisaient ma bite. Ma tante fut la première à revenir sur mon gland et elle l’entoura de sa bouche. Puis ce fut Arlette qui accueillit mon gland dans sa bouche...
Lorsqu’elle me libéra, elle se trouva en face des lèvres de ma tante et elles échangèrent un long et voluptueux baiser. Elles basculèrent ensemble sur la moquette et roulèrent l’une sur l’autre, me laissant seul. J’en profitai pour me débarrasser de mes chaussures, me libérai de mes chaussettes, pantalons en tire-bouchon sur mes chevilles et slip. Enfin, ôtant mon tee-shirt, je me trouvais nu comme elles. Je pris une coupe de champagne et m’asseyais dans un fauteuil pour les regarder. Elles semblaient soudées pas les lèvres et se caressaient mutuellement, enfonçant leurs doigts au plus profond de leur intimité, agitant leurs mains avec frénésie.
Cela dura un long moment avant qu’elles ne se calment et alors qu’elles reprenaient lentement une position assise, je frappai lentement dans mes mains comme un spectateur à la fin d’un spectacle.
... - Je savais Arlette peu attirée par les queues, mais je vois ma tante que vous aussi vous savez vous en ...