Un jeune homme à la capitale (21)
Datte: 01/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
... donnant du plaisir à ma collègue dont les maigres cuisses largement écartées laissaient voir son sexe ouvert autour duquel s’agitait la langue rose de Brigitte. J’approchai ma bite et ma tante interrompit sa caresse pour me prendre en bouche.
Je l’utilisai comme un sexe, allant et venant à petit coup de reins. Au bout d’un instant, des mouvements secs du cul plat d’Arlette montrèrent qu’elle s’impatientait. A mon grand dépit, ma tante m’abandonna et sa langue repartit explorer le sexe offert à sa convoitise.
Tentant le tout pour le tout, j’approchai lentement ma queue de l’entrée béante et y engouffra mon gland. Je n’eus pas le temps d’aller plus loin. Dans un rugissement, Arlette eut un sursaut qui m’expulsa d’elle. Elle roula sur le côté, se mit à genoux face à moi. Son regard lançait des flammes.
— Salaud, tu as voulu me la mettre.
— Excuse-moi, je croyais...
— Tu croyais quoi ? Tu sais que je ne voulais pas...
— Tu ne voulais pas sucer non plus et tu l’as fait alors...
— Je t’ai sucé pour te faire plaisir et faire plaisir à Brigitte, et toi, tu ne penses qu’à m’enfiler...
Brigitte qui s’était redressée la prit dans ses bras
— Allons, je suis sûre, ma chérie qu’il ne voulait pas te forcer. La situation prêtait à confusion. Moi-même j’ai cru... Sinon je l’aurai arrêté.
Elle la berçait en caressant sa tête rasée.
— Je te jure Arlette, je regrette, je suis sincèrement désolé. Je voudrais que tu me pardonnes. Je ferai tout pour cela... ...
... je...
Ma tante lui parla à l’oreille. Cela dura un moment puis son visage se dérida.
— Tu as raison, ce sera sa punition.
Je jetai un regard interrogatif à ma tante.
— lorsque vous êtes venus, vous avez rejoué la scène du banc. Pour de faux. Et bien, nous allons rejouer la scène de ma promotion, mais pour de vrai. Arlette sera Livert et toi Imbert. Je me remémorai la scène et voyant Arlette se saisir du gode ceinture, je compris.
Voyant mon mouvement de recul, ma tante intervint.
— Tu as promis mon neveu. Prends cela comme un gage. Et puis tu m’as sodomisée plusieurs fois, me semble-t-il. Chacun son tour...
Je baissais la tête...
— Par contre pour jouer cette scène, il faut que tu sois dans de bonnes dispositions, dit-elle en regardant ma queue redevenue molle. Arlette, allons-y.
Elle me poussa sur le dos et saisit mon sexe tandis qu’Arlette s’approchait. Ma tante me branla deux ou trois fois puis s’arrête, la main contre mon bas-ventre. Mon sexe dépassait de sa main fermée et Arlette se pencha et le prit dans sa bouche. Elle eut quelques mouvements de lèvres et de langue puis me libéra, et ma tante me branla de nouveau et s’arrêta. Arlette, de nouveau, plongea sur mon gland.
S’installant plus confortablement, Alette se trouva en chien de fusil, la tête sur mon ventre. J’en profitai pour glisser ma main entre ses fesses sans qu’elle ne bronche, concentrée sur le moyen de me redonner vigueur. Mon doigt était légèrement engagé entre ses grandes lèvres. ...