Un jeune homme à la capitale (21)
Datte: 01/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
... passer.
— Mon neveu, répondit ma tante essoufflée, mais nullement gênée, on prend le plaisir comme il vient. Et puis ça change, car des bites on en a toujours sous la main. Vraies ou fausses...
— Qu’entendez-vous par là ?
— Montons dans ma chambre, nous proposa-t-elle d’un air entendu, nous serons plus à l’aise.
De nouveau, en montant l’escalier derrière ma tante, j’éprouvai le plaisir de voir son derrière dodu basculer d’un côté à l’autre au gré des marches...
Arrivée sur le seuil, Arlette lança un coup de sifflet admiratif :
— Eh bien, tu ne te refuses rien, dit-elle en se jetant sur le lit.
Je m’assis non loin d’elle tandis que ma tante ramenait du dressing une petite valisette.
— Voici la parfaite valise de la femme seule, annonça-t-elle.
Elle la posa sur le lit et l’ouvrit. Dedans, sur du velours rouge reposaient des sexes de toutes formes et tailles. Des godemichés en plastique et en ivoire...
— Je vois que tu ne risques pas de t’ennuyer, dit Arlette. Elle laissait ses doigts glisser sur les objets puis elle en sortit un muni de sangles.
— Elle jeta un coup d’œil interrogatif à ma tante.
— Un gode de ceinture, tu dois connaître...
— Sûr. Mais celui-ci est particulièrement beau et d’une qualité...
— Un cadeau d’une amie chère.
Tout en papotant, elles s’étaient de nouveau rapprochées et recommençaient à se caresser.
J’ôtais la valise du lit et la posai sur le sol. Mon érection avait baissé, mais je pris un godemiché de ...
... taille moyenne dans la collection et le plaçais à côté de ma verge. Il était plus court, mais plus gros. C’était un coup à avoir des complexes. Seul le godemiché de ceinture me sembla exactement du gabarit de mon sexe. Des halètements rauques attirèrent mon attention vers les filles sur le lit et immédiatement le désir embrasa mes reins. Elles étaient têtes bêches, la tête entre les cuisses de l’autre, se léchant mutuellement. Ma tante était sur le dessus et offrait à ma vue son fessier magnifique. J’approchai ma queue bandée. Arlette interrompt sa caresse et donna un coup de langue sur mon gland. J’approchai celui-ci de l’entrée de la vulve de ma tante. Arlette lécha la hampe tandis que mon gland pénétrait le sexe de tante Brigitte qui poussa un grand soupir.
Je fis quelques lents aller et retour et j’eus le bonheur de sentir la pointe de la langue de ma collègue me chatouiller lorsque mon sexe sortait. Je pris le risque de sortir complètement et ma queue heurta son menton et son nez, avant qu’elle ne réussisse à la mettre dans sa bouche, puis, je la remis en place et lançais quelques coups de reins puissants. Les réticences d’Arlette vis-à-vis de la queue des hommes semblaient s’amenuiser à vue d’œil. Alors que je retirai de nouveau ma queue, leurs corps basculèrent et Arlette se trouva sur le dessus. Je lui présentai ma queue, mais elle la négligea et enfouit son visage dans la toison de ma tante. Déçu, je fis le tour de leur mêlée et retrouvai de l’autre côté, ma tante ...