1. Arrivée dans son appartement


    Datte: 26/02/2022, Catégories: fh, hplusag, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fsodo, confession, f+medical, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... gourmand de la vie et des émotions. Il enfila son pantalon devant moi sans mettre son boxer. Une belle bosse s’était formée sous le tissu.
    
    Puis il m’enfila mon chemisier échancré assez transparent, oubliant au passage mon soutien-gorge. J’aurais dû prendre le pari. Mes seins refaits tenaient tous seuls, donc pas de soucis. Mais les aréoles et les tétons de fille brune ne passeraient pas inaperçus dans la rue. Heureusement il m’accorda de porter ma veste qui cachait un peu ma nudité. Il prit tout son temps pour enfiler sa chemise et sa veste, me regardant avec envie tandis que je jouais à son petit soldat, toute droite et silencieuse. Il m’enfila mes escarpins et je me fis toute petite me sachant plus grande que lui. Il mit ses Todd avec respect et enfila une très jolie veste. Daddy plia méticuleusement son boxer et ma lingerie dans sa petite serviette en cuir. J’aime sa façon de respecter mes affaires, même si je sais aussi qu’il est du style à les arracher.
    
    — Nous pouvons y aller, c’est à cinq minutes à pieds.
    
    En sortant, je ne pus résister à faire discrètement basculer la photo de ses filles sur le rebord de la cheminée. Je suis une connasse…
    
    Je profite de la promiscuité de l’ascenseur pour discrètement gratter de mes ongles manucurés la bosse sous son pantalon. Cela le fait sourire, mais il ne dit rien. Nous croisons la concierge en bas qui vient de la cour. Je m’agrippe au bras de mon homme.
    
    — Bonjour, monsieur Henri, je pensais que c’était une de vos ...
    ... filles qui jouait du piano.
    — Non, c’était Mademoiselle.
    
    Je ne peux m’empêcher de sourire, car devine que si elle a entendu le piano qui résonnait dans la cour, elle a dû entendre bien plus encore. Elle avait donc une bonne idée de tout ce que cet homme venait de me faire. Elle me toise et je lis dans son regard réprobateur la malédiction qu’elle lance sur mes générations futures. Je ne lui veux pas, car c’est probablement elle qui va venir ramasser les préservatifs dans la poubelle.
    
    Nous quittons cette aimable personne et sortons dans la rue. J’avais déjà porté des robes sans lingerie dans ma vie, histoire de pas marquer mes vêtements, parce que je ne les avais pas retrouvés en partant de chez quelqu’un ou pour me faire un petit plaisir. Mais là, je dois dire que la sensation était toute différente, décuplée. J’étais pourtant au bras de mon homme, mais me sentais étrangement fragile. L’air un peu frais s’engouffra sous ma jupe et au travers de mon chemisier. Un frisson me parcourut.
    
    Je pris alors conscience que nous étions voisins et que nous pourrions croiser des personnes de notre entourage à tout moment, lui à mon bras. Je rêve alors à un petit peu de discrétion, moi qui aime tout le contraire. C’est alors que Monsieur décide de nous faire emprunter la rue piétonne et passer un vendredi soir à 19 h 30 devant les terrasses de café bondées. Si j’en doutais encore, voilà la certitude que je suis son trophée.
    
    Ceux attablés sont justement là pour voir passer les gens. ...