Arrivée dans son appartement - Histoires de Sexe

Arrivée dans son appartement

Résumé des épisodes précédents : «Arrivée chez le Dentiste », «Second orgasme » et «L’histoire du dentiste et de sa rousse »

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Je ne sais pas vous, mais jouir en étant sodomisée est toujours quelque chose de très fort et de très spécial. C’est hyper intime et même si j’étais plus que volontaire, ayant initié la chose, j’ai comme le sentiment de me faire violer à chaque fois. C’est troublant. Ma chatte que j’ai masturbée frénétiquement sur la fin est en feu. Cette queue encore dans mes entrailles anales va commencer à me faire mal. Mes tétons se rappellent encore tous les pincements violents. Les racines de mes cheveux que Daddy tirait comme un fou sont à moitié arrachées.

L’orage et le tonnerre ont fait place à une sublime éclaircie. Mes spasmes longs sont délicieux à vivre.

J’entends depuis la fenêtre quelqu’un parler dans la cour de l’immeuble. Je rougis connement en imaginant ce qu’ils ont pu entendre de moi. Pourtant rougir n’est absolument pas mon style. Probablement les émotions et la confusion de ce que je viens de vivre.

La queue sort de moi et les mains de Daddy caressent lentement mes seins aux tétons douloureux.

— Vous êtes très belle, Princesse.

Je commence à m’y faire à ce vouvoiement dans des circonstances de ce type. Le commun des mortels serait en mode tutoiement, mais non, pas mon Homme. Mes cuisses sont toutes hérissées dans cette chair de poule que me procurent les orgasmes les plus intenses. Daddy en est très fier et ses ...

... mains se baladent sur mes cuisses et vont sur mon ventre où il ressent les spasmes de mon orgasme.

— J’aime vous faire jouir.

Oui, trois fois d’affilée. J’ai enfin trouvé mon Daddy, depuis le temps que je le cherche. Un homme élégant et raffiné, cultivé, sûr de lui et qui s’assume tel qu’il est et qui aime le beau. Celui qui ne me laisse pas faire, pas prendre le dessus sur lui, sait me canaliser, me frustrer, résister à mon jeu de tentatrice et de séductrice. Ce gentleman qui sait aussi l’être beaucoup moins au bon moment, qui me parle, exprime ses émotions, ses sentiments, ses envies, ses désirs. Celui qui assume de me traiter de Princesse et de Pute à la fois, qui ose éjaculer sur moi, me prendre en levrette, me sodomiser, me tirer les cheveux, me pincer les tétons et me fesser. Bref l’homme idéal, la perle à ne pas laisser passer.

— Merci, Daddy, merci.

Décidément, je suis troublée, moi, remercier un amant ? N’est-ce pas à lui de se mettre à mes pieds. ? Eh bien, justement, comme quoi tout est bizarre, voilà que c’est moi qui vais à ses pieds !

Car ce sperme éjaculé au fond d’un triste préservatif est le mien. Il m’appartient. Alors ni une ni deux je me mets à genoux et glisse sous son bureau. À ses yeux bleus, admiratifs de ma démarche, je devine que je réalise là quelque chose qui lui a toujours fait envie. Une Pute sous son bureau, ce n’est pas tous les jours, visiblement. Vu sa surprise, je pense même que c’est la première fois. Je dois marquer un grand ...