Arrivée dans son appartement
Datte: 26/02/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fsodo,
confession,
f+medical,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... paquet de points.
C’est avec mon regard d’allumeuse gourmande que je déroule ce préservatif pour récupérer de la pointe de ma langue autant de sperme chaud que je peux. Je sais que Daddy adore m’embrasser avec la bouche pleine de son sperme. Alors je ne vais pas me gêner. Une fois sa queue toute propre, je l’invite à se lever. J’ai envie d’un grand câlin, ses bras protecteurs autour de moi. J’ai aussi envie de ce grand baiser tout spécial. Je lui ouvre ma bouche, lui montre son sperme sur ma langue avec fierté. Comme une chienne qui revient avec le nonos de son propriétaire.
— Vous êtes si belle, ma petite Princesse.
Il prend tout son temps, m’admire garder son sperme bouche, me caresse lentement mon dos, mes épaules mes fesses. Il me prend le menton, l’approche de ses lèvres et m’embrasse fougueusement.
Je suis transportée. Comment avons-nous pu aller si loin, si vite ? Un coup de foudre de folie. Cet homme est dingue. Alors, je le serre dans mes bras. Il m’appartient. Il est à moi. Je me sens si bien avec lui, si femme, si désirée, si libre. Je peux être moi-même sans calculs, sans faux semblants, sans paraître. Et puis surtout, cet homme a la galanterie de penser à mon plaisir aussi et pas qu’au sien. Combien de mecs minables, égoïstes et narcissiques ai-je croisés. Certes très beaux, très cons, mettant leur plaisir en premier, voire les deux ou les trois à la fois.
Il me remet sa blouse sur mes épaules en mode gentleman attentionné.
— Ne prenez pas ...
... froid, petite.
Oui, j’ai envie qu’il me sente fragile, moi qui suis tout sauf cela, frileuse, moi qui ne le suis jamais, petite, moi qui suis grande. Bref, tout et son contraire. Je ne sais plus où je suis. La tête me tourne. Tout a été trop vite dans cette relation. Mes yeux se posent sur le Steinway.
— Cadeau pour vous, Daddy.
Toutes ces années de cours de solfège que je détestais petite, tous ces cours de piano qui m’ont dégoûtée à vie de cet instrument. Là, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai comme une envie de jouer pour lui, de l’envoûter, de l’impressionner. Je n’en suis plus à une contradiction près. Je me jette sur le tabouret, ouvre le piano. Alors reviennent en moi les morceaux que j’aimais le plus. D’abord hésitante, je cherche mes notes, puis tout s’enchaîne par magie. Le son est sublime, le piano est accordé, probablement par les experts Steinway. Je me détends, cela coule tout seul, sortant de mes veines, de mon cœur, de mon âme. Je suis comme transformée. Tout me revient, je joue avec fluidité, prends confiance. Daddy s’assoit à son bureau, me regarde, m’admire. Ses yeux pétillent, il me couve de son regard protecteur.
— C’est sublime, petite.
Petite quoi ? Cela ait deux fois qu’il m’appelle petite. En talons, je suis plus grande que lui. Ou bien fait-il un raccourci lexical incluant dans le mot petit à la fois petite Princesse et petite Pute ?
Je fais tomber la blouse au sol. Je veux qu’il me voie nue jouer pour lui. Je suis sa muse. Je veux ...