Trois jours surréalistes
Datte: 21/02/2022,
Catégories:
fh,
extracon,
candaul,
hotel,
caférestau,
jalousie,
dispute,
reconcil,
cérébral,
Oral
pénétratio,
confession,
extraconj,
Auteur: L'artiste, Source: Revebebe
... rends jamais au domicile de mes amants… tout comme je ne les amène jamais chez moi d’ailleurs !
Sa réplique m’interpelle, le « mes amants » attise ma jalousie, j’essaie d’en savoir un peu plus.
— En avez-vous eu tant que ça ?
— Quelques-uns… oui ! Nous avons fait connaissance par le biais d’un site de rencontres, vous devez bien vous douter que vous n’êtes pas le premier et ne serez certainement pas le dernier non plus !
Je me suis fait remballer en beauté, toutefois, sa réponse me laisse pantois. Joue-t-elle un rôle ou bien cherche-t-elle tout simplement à me prévenir ? Peu importe, pour l’heure je décide malgré tout de rester dans mon personnage et de profiter au mieux du moment qui m’est offert.
— Vous avez raison, je vous prie de bien vouloir m’excuser. Nous nous trouvons à deux pâtés de maisons d’un hôtel, nous n’avons qu’à nous y rendre.
— Je vous suis, L’artiste !
Une fois l’addition réglée, nous voilà partis, main dans la main. À peine la porte de la chambre franchie, Gourmande se jette à mon cou. Je profite de cette promiscuité pour dégrafer sa robe, je dégage les bretelles de ses épaules pour la laisser glisser à ses chevilles, découvrant de la sorte sa peau, si douce, que je caresse au passage. Je l’admire, et mon désir s’accroît de seconde en seconde. La jalousie du mari trompé s’est en un instant totalement envolée.
D’une main franche, Gourmande me pousse autoritairement sur le lit et entreprend de se séparer des sous-vêtements qui ...
... l’habillent encore. Hypnotisé par tant de grâce et de sensualité, je reste là, immobile, et savoure le spectacle. Me fixant du regard, elle détache doucement le soutien-gorge pour exhiber ses deux magnifiques seins dont les tétons semblent appeler mes attentions. J’aimerais les caresser, les embrasser ! Puis, c’est le tour de la culotte en dentelle qui ne cachait déjà pas grand-chose. Quelle coquine quand même… elle s’est épilée avant notre rendez-vous !
Gourmande se rapproche pour s’attaquer à ma ceinture et me débarrasser de mon pantalon, elle a attrapé le caleçon avec, le tout est retiré dans la même impulsion. Mon sexe surgit en extirpant un « hum » admiratif à ma douce qui semble apprécier, puis elle le prend en bouche.
Diantre, que c’est bon ! Je dois faire durer le plaisir, d’une main sous son menton je lui relève la tête. Gourmande me lance un regard interrogateur, légèrement inquiet.
— Ça ne te plaît pas ?
— Ça me plaît bien trop au contraire, mais j’ai envie de toi !
Et à mon tour, autoritairement, je la retourne pour l’allonger sur le dos et la couvrir de baisers. Mes mains glissent sur ses cuisses comme sur du velours et ma bouche s’empare de son abricot. J’aime la saveur musquée du désir qu’elle éprouve et qui apparemment devient ardent, alors je déguste et m’enivre, je ne suis pas habitué à cajoler un sexe imberbe et j’adore !
Moi qui ne comptais pas me presser, ma coquine prend les devants… et finalement, me retrouver ainsi au chaud me ravit. La suite ...