Le temps des olives
Datte: 18/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... Et en fait de « choses », il s’agit de ce qui orne son pubis. Crinière flamboyante surmontant et camouflant l’entrée d’une grotte convoitée, ornement ridicule aux couleurs d’une chevelure en désordre, une toison qui ne parvient pas à retenir la fougue de l’impatient Yanis. Il a vite trouvé où se situe l’endroit qui, avec la pointe de ses seins et ses lobes d’oreilles, la fait frémir. Un index souple piaffe déjà sur ce qui se niche à l’orée des grandes lèvres. Enfin, tout s’emballe et l’évolution logique remplit de râles la chambre baignée d’une lumière naturelle.
— oOo —
Finalement l’adoption, par les deux personnages d’un chiffre bien connu, fait la part belle à ces préliminaires somptueux. Cette tige qui s’engouffre entre deux mâchoires qui lui veulent du bien fait soupirer d’aise le bonhomme qui subit le châtiment de la fellation. Il s’applique dans sa tâche, et lape tel un chiot, l’entrejambe largement ouvert. D’une langue agile il fait glousser d’aise cette rousse qui retrouve des émois oubliés. Les mains jouent avec tout ce qu’elles peuvent tripoter aussi bien sur lui que sur elle. La piaule est envahie par des gémissements dont la gorge n’est pas définie.
C’est si bon que parfois Mélinda en oublie ce qu’elle fait pour profiter pleinement de toutes les sensations qu’elle accueille avec un bien-être fou.
Elle se laisse faire avec un plaisir de moins en moins contenu. Lui s’enivre d’une salive parfumée par ses sécrétions de plus en plus abondantes. Et pour ...
... finir, c’est elle, qui le repousse après un long moment d’agonie lente, pour venir se coucher sur son ventre. Mélinda se laisse alors glisser pour que cheville et mortaise s’enclenchent gentiment. Un ouf de soulagement craché par la gorge féminine marque le début d’une possession attendue et espérée. En appui par ses bras tendus sur le buste de Yanis, la femme prend conscience qu’elle est son frère font désormais vraiment l’amour. Ils sont amants pour de bon et il est impossible de faire machine arrière.
Mais c’est si bon, tellement merveilleux de renouer avec les choses du sexe. La folie n’est plus passagère, elle est définitive. À quoi bon lutter encore contre l’inéluctable ? Ce qui devait arriver est là, dans sa plus simple horreur, avec cependant une certaine magie. Elle garde sa position, se redressant pour de sa patte gauche, venir serrer les olives de ce frère patient. Elle prend le sac contenant les boules et malaxe ce dernier en accentuant ses déhanchements. Son bassin qui fait de lentes reptations sur ce bas ventre garde bien au fond de son con la queue qui s’y enfonce avec délectation.
Les deux-là sont en transes, en rut. Ils se fichent pas mal de l’heure et du temps. Et puisque le vin est tiré, il faut le boire… jusqu’à la lie. La lie… elle est toute proche et dans un souffle, Yanis fait part à cette sœur qui le chevauche de l’arrivée imminente de sa semence.
— Att… ends ! Je n’en peux plus. Je crois que je vais venir… laisse-moi sortir !
— Pou… pourquoi ...