1. Incroyable


    Datte: 16/02/2022, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, caresses, Oral pénétratio, fsodo, nostalgie, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... peu dire. J’avais terriblement sommeil et bâillais à tout bout de champ. La matinée fut pénible, le dernier repas trop chargé, je filai à la réception pour garder la chambre une nuit encore, incapable de reprendre la route en sécurité. Embrassades, au revoir, échanges de mails et de téléphones, bref, une fin de session habituelle. Chacun partit de son côté pour un gentil week-end en famille, je ne vis pas Maëlle et pensa qu’elle avait devancé tout le monde, voulant éviter des adieux peut-être difficiles. Je remontai donc dans ma chambre, à la fois soulagé et contrit, car il était dommage qu’une telle histoire, fut-elle d’une semaine, se terminât ainsi. Surprise, elle m’attendait adossé à la cloison du couloir, son bagage à ses pieds, dans son imperméable argenté.
    
    — Tu m’attends pour les adieux ?
    — Non, je t’ai entendu prolonger pour cette nuit, je reste avec toi.
    
    Dans la chambre, elle posa son sac et son imperméable, elle était nue en dessous. Elle se glissa dans le lit et m’attendit à nouveau, je la rejoignis et m’endormis dans ses bras.
    
    Je me réveillai en sursaut de ce rêve affreux qui se prolongeait pourtant dans les sensations. En effet, c’est Maëlle qui me suçait merveilleusement et avec beaucoup de délicatesse. Je lui souris et l’embrassai intensément, soulagé qu’elle fût encore là.
    
    — Je n’ai trouvé que ce moyen de te réveiller gentiment si tu souhaites dîner, me dit-elle (il était dix-neuf heures).
    — Tu crois qu’on peut se commander un repas à la ...
    ... chambre ?
    
    Elle acquiesça et j’appelai la réception. Embêtée la dame. Elle voulait bien me faire plaisir parce que la boîte lui laissait une somme respectable pour cette semaine, mais ça n’était pas prévu. Alors, si nous nous contentions d’un repas froid… Pas de souci. Maëlle était empalée sur ma queue quand on frappa à la porte. Elle se leva d’un bond et enfila ma chemise pour aller ouvrir. Le garçon d’étage ouvrit des yeux ronds en poussant son chariot, le fin tissu flottait à la limite des fesses et de la moule de ma maîtresse. Il allait se retirer comme à regret quand elle lui dit :
    
    — Attendez…
    
    Puis elle se pencha sans fléchir sur son sac à main pour en sortir un billet de cinq euros. Dans ce geste, certainement volontaire, sa superbe vulve dilatée, luisante de mouille et encore un peu béante, jaillit entre le haut de ses cuisses, s’offrant au regard du pauvre garçon au bord de l’apoplexie. Il balbutia quelques remerciements en reculant jusqu’à la porte qu’elle referma, et elle bondit me rejoindre sur le lit en riant de sa farce. Nous eûmes encore une nuit de folie érotique, entrecoupée de pauses restauration, il y avait de quoi tenir un siège sur ce chariot, et de quelques douches. Nous quittâmes l’hôtel vers midi le samedi, non sans avoir accédé à son désir de remplir une dernière fois son sexe de ma semence, « pour le voyage », prétendit-elle. Je la déposai à la gare et l’intense circulation sans place disponible abrégea par force notre séparation.
    
    En tant ...