1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... dans un profond sommeil.
    
    J’ai vaguement perçu la sonnerie d’un réveil, le grincement d’un rideau métallique qui se levait, mais ce ne sont que les tintements successifs de la porte du magasin qui finirent par me tirer du sommeil. Sorti de la douche, je trouvai une cafetière fumante dans la cuisine avec ce petit mot :
    
    —Sors par le jardin, il donne sur la rue. La clé est sur la porte. Et surtout, reviens vite.
    
    Je revins en effet à de nombreuses reprises, dormant souvent chez ma pharmacienne, me demandant toujours si je n’allais pas franchir le pas avec cette femme adorable et pleine de qualités. Nous aurions peut-être formé un couple plus harmonieux que celui que je construisis plus tard, avec une autre plus belle et plus citadine. Mais ainsi va la vie, les regrets sont inutiles et ne changent en rien le cours inexorable du temps. Comme la petite institutrice, l’apothicaire avait le fantasme du lieu de travail. Elle se fit donc trousser à plusieurs reprises dans son magasin, non sans revêtir sa blouse blanche de travail, et seulement sa blouse. Curieux ce fantasme récurrent chez les femmes !
    
    Hélas, elle était également jalouse, et même, au fil du temps, d’une jalousie maladive. Il n’était plus question de lui demander des préservatifs, elle m’inspectait même, au moins d’une narine experte, quand j’arrivais chez elle. Soit j’avais pris une douche et c’était pour camoufler les relents de mes frasques, soit je portais une odeur « de femelle en chaleur » et c’était ...
    ... également une scène d’un ménage vieux de quelques jours. J’espaçais donc mes visites à cette furie, car j’étais incapable de me priver de la bonne fortune que je vivais. Mon « record » en effet se monta à cinq femmes différentes dans la même journée, deux le matin, deux l’après-midi et elle pour la nuit. Cette frénésie sexuelle convenait plutôt bien avec l’explosion hormonale de mes vingt-deux ans, et je crois que plus on baise et plus on a envie de baiser.
    
    L’initiatrice
    
    C’est après le 15 août que je rencontrai Catherine, celle que l’on appelait « la veuve » dans le coin, c’est du moins comme ça qu’on me la nomma quand je demandai ma route. Je fus d’abord accueilli par un énorme berger allemand qui montrait des crocs grands comme des dagues à chaque tentative d’ouverture de la portière de ma 4L.
    
    — Loco ! Ici…
    
    L’ordre claqua, sec et bref, et le molosse fila par une petite porte d’étable grande ouverte. Je le suivis prudemment. Dans le rectangle de soleil, un spectacle étonnant m’attendait : je vis l’arrière-train d’une vache que deux mains habiles étaient en train de traire et derrière deux jambes grandes ouvertes, dénudées par une blouse déboutonnée pour plus de commodité, montrant allègrement un pubis velu sans la moindre culotte. Au-dessus, ballottant au rythme des mouvements, deux mamelles libres également étaient en partie visibles par l’échancrure de la blouse. Ma virilité palpita instantanément.
    
    — C’est… C’est la Coopérative agricole… Bonjour Madame, osais-je ...
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