1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... mètre soixante), ça donnait une impression de générosité appétissante. Musique classique sur sa chaîne Hi-Fi, bon whisky dans les verres, sièges poires drôles et confortables, le moment fut délicieux. Les deux faces du 33 tours de Gershwin terminées, je m’apprêtais à partir lorsqu’elle lança :
    
    — Je vous garde à dîner si personne ne vous attend ? …
    — Je ne voudrais pas abuser…
    — Pas du tout. Ça me changera du yaourt avalé vite fait sur un coin de l’évier.
    — Dans ce cas…
    
    Elle concocta un dîner rapide, simple, mais délicieux : un bocal de confit de son sud-ouest natal avec des pâtes, quelques fruits, le tout arrosé d’un Bergerac magnifique. L’alcool aidant, nous rîmes beaucoup. Je voulus l’aider à faire la vaisselle, c’est comme ça que nos visages se trouvèrent tout proches, que nos lèvres se soudèrent et que les assiettes restèrent dans l’évier. Je découvris avec stupeur mon premier « tablier de sapeur », un astrakan qui s’étalait en éventail du pubis au nombril, plus vaste que mes deux mains côte à côte. Et ce pelage débordait en duvet sur l’intérieur des cuisses et jusqu’à sa rosette dont il faisait le tour, en moins dense cependant. Il y avait là quelque chose d’animal qui me rendit fou. J’y plongeai mains, visage et queue avec un appétit féroce et sans souci, puisqu’elle au moins disposait de la pilule sans ordonnance.
    
    Après le premier tour, d’une violence à la hauteur de notre envie, elle s’exclama :
    
    — Nom de dieu ce que ça fait du bien… Plus d’un an, ...
    ... depuis que je me suis installée ici, que je n’avais pas baisé !
    
    Douche, cigarette, café et… rebelote. Plus lentement, plus sereinement cette fois, nous partîmes chacun à la découverte de l’autre plus à fond. J’appréciai le volume et la sensibilité de ses beaux nichons, la profondeur de sa raie culière et la sensibilité de sa rosette, elle me suça longuement avec dextérité puis me chevaucha dans les deux sens pour prendre son plaisir à son rythme. Ce second rapport eut quelque chose de tendre et d’amoureux. Rassasié, je me serais bien endormi sans autre forme d’exigence. C’était sans compter avec les mois de frustration qu’elle avait endurés. Avec l’énergie de son tempérament volcanique, elle me tira du lit pour une nouvelle pose café-tabac et, pensant fort justement que son vagin détrempé n’offrirait plus un massage suffisant pour m’emmener au plaisir une troisième fois, elle descendit au magasin, nue et appâts tressautants, quérir un tube de lubrifiant destiné à explorer ses arrières qui semblaient m’intéresser. Hommage à ses efforts et à sa virtuosité qui me redonnèrent vigueur, ainsi qu’à sa volonté de m’offrir son entrée de service, cul levé, malgré un anus très serré qui n’avait pas été visité depuis des lustres, voire jamais. Elle avait les larmes aux yeux, j’avais le pénis massacré, mais nous eûmes encore une fois un orgasme simultané d’une incroyable intensité lorsque je lâchai mes dernières réserves dans ses intestins. Je retombai mort près d’elle et m’enfonçai illico ...
«12...161718...35»