1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... climat ou aux épidémies, ça devenait aussi sûr que de jouer au casino. Dans un tel contexte, bientôt plus aucune femme ne voudrait engager sa vie avec un agriculteur. C’était pourtant quarante ans avant l’émission « Le bonheur est dans le pré », preuve que l’agriculture est toujours en crise avec moitié moins de paysans.
    
    La belle ne s’était pas rhabillée, car elle comptait bien « remettre le couvert » après le repas. La classe nous accueillit de nouveau, il y faisait encore plus chaud que le matin. Cette fois, c’est moi qui pris la direction des opérations, car je ne voulais pas finir ma journée là, j’avais d’autres visites à effectuer. Je m’emparai donc d’une grande baguette qui servait à montrer mots, lettres ou points sur une carte, et fit mettre cette « vilaine fille » en position, à petits coups sur les fesses et petites touches sur la pointe des seins. Je la pris debout sur l’estrade, les mains posées sur le tableau, lui faisant promettre qu’elle se souviendrait de ces instants quand elle ferait ses cours tout au long de la prochaine année scolaire. Je découvris une autre facette de cette fascinante jeune femme, qui joua la soumission avec autant de délectation que l’exigence qu’elle avait précédemment montrée. Je la quittai à regret, avec peu d’espoir de la revoir dans l’été si ce n’est après son retour de Roumanie. Mais le fait que nous soyons collègues ouvrait des perspectives ultérieures. Le reste de l’après-midi, très chaud, me parut long et harassant, et ...
    ... surtout sans intérêt.
    
    Et puis il y eut les « Miss ». À cette époque sans télé ou presque, notamment dans ces campagnes reculées peuplées de fermes isolées, on ne ratait pas une occasion pour organiser de petites fêtes permettant de se retrouver dans les bourgs. Fête des moissons et concours de labour succédaient à la fête des colzas et précédaient celle des vendanges, même si la région n’était pas particulièrement viticole. C’était surtout de grands banquets suivis de bals populaires sous des parquets démontables, aux sons de l’accordéon de « Totoche et son orchestre musette », bref, l’occasion d’une beuverie dominicale. Et à chaque fois, on élisait une Miss : la reine des blés, la reine des labours, etc.
    
    Moments savoureux où quelques filles rougissantes défilaient sur un « podium », une remorque habillée de tissus, en maillot de bain une pièce, applaudies ou sifflées par un parterre de jeunes gens égrillards et bourrés qui contemplaient le spectacle une main dans leurs poches percées. Ça avait quelque chose de surréaliste, proche des marchés aux esclaves des livres d’histoire. Je n’étais pas censé travailler le dimanche, mais ma coopérative offrait toujours une coupe et un petit cadeau commercial dans ces occasions, une forme de publicité bien vue. Comme j’étais célibataire et sans enfants, on m’y envoyait volontiers. Je remettais donc des coupes et étais invité à participer, œil extérieur et donc impartial, aux jurys des reines. Excellent moyen de commencer par quatre bises ...
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