1. Beautés rurales


    Datte: 15/02/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, inconnu, Collègues / Travail poilu(e)s, bizarre, campagne, collection, caresses, entreseins, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... table et réclamai :
    
    — Maîtresse, on écrit la date ? Fais-nous un modèle…
    
    Elle s’exécuta en riant, s’étirant pour écrire avec application tout en haut du tableau. C’est bien ce que je souhaitais, et la liquette remonta, découvrant une bonne partie de ses fesses. Le spectacle était ravissant et excitant au possible, ce que confirma mon entrejambe.
    
    — T’as de belles fesses, Maîtresse !
    — Oh ! Et dire que j’ai marché comme une imbécile, et c’était juste pour me mater les fesses !
    — Comme si tu ne t’en doutais pas.
    — Tu sais que j’ai un fantasme, me dit-elle d’une voix rauque en s’approchant et s’asseyant sur ma table ?
    — Lequel ?
    — Me faire sauter dans ma classe.
    — Ah oui ? Et le moment serait-il venu ?
    — Je crois oui…
    
    Elle essuya ses doigts blanchis par la craie sur la bosse qui déformait mon jeans, pressant tout le paquet dans sa grande paluche. Il n’y avait rien à lui refuser, elle avait pris les choses en main. La liquette vola, le jeans tomba au sol et le grand corps musclé de la Maîtresse s’offrit sur le bureau. L’amour avec elle s’avéra être un véritable combat. Elle était très costaude, vigoureuse et exigeante.
    
    Ses mains puissantes me pressèrent la tête entre ses cuisses à m’en étouffer, puis pressèrent mes fesses pour se faire pénétrer au maximum. Elle ne se rendit qu’après deux orgasmes et quand ma queue vidée par son vagin goulu ressortit en berne de sa grotte dégoulinante. Nous repassâmes dans la cuisine où elle se mit à nous préparer un petit ...
    ... repas improvisé : jambon sec et salade de tomates de la ferme, et elle me demanda de nous préparer deux pastis. Elle enfila le premier presque d’un trait et en réclama un second. Nous déjeunâmes toujours nus sur un coin de table.
    
    — Et si ton copain arrivait pour te faire une surprise ?
    — Pas de risque, hélas, trop de boulot. Et puis… (d’un ton plus péremptoire) et puis moi aussi j’ai des besoins. Mon corps m’appartient et j’en fais ce que je veux. Y a huit jours que je ne l’ai pas vu et en plus, la dernière fois, j’avais mes règles. J’ai presque vingt-six ans, il y a quatre ans que je me suis enterrée dans ce trou. J’ai envie de vivre, moi, de baiser. J’en ai marre d’attendre. Certes, il est gentil, travailleur, il voudrait me faire plaisir, réussir, gagner plus pour faire la ferme de nos rêves. Mais ça ne suffit pas. J’ai besoin d’autre chose. Je ne veux pas perdre les plus belles années de ma vie à attendre quelque chose qui ne viendra peut-être jamais. Parce que la plupart du temps, c’est quand même mon salaire qui fait bouillir la marmite. Merde !
    
    Je restai muet sous cette tirade, constatant que les idées féministes qu’on entendait ici et là faisaient leur chemin. Déjà, l’agriculture était en crise, et ce métier très dur nourrissait mal son homme. Les remembrements se mettaient en place, il fallait moins de paysans, de plus grosses exploitations, des matériels plus puissants, des investissements, des emprunts et donc des dettes. Avec des rendements directement liés au ...
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