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Monsieur, Marianne et moi (2)
Datte: 12/02/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... ? — Oui monsieur. Une première gifle atteint la fesse gauche et je lâche un cri à peine audible. — Plus fort le compte ! Le deux tombe après une seconde brûlure à droite cette fois, et il continue jusqu’à ce cinq qui me libère. Et il reprend des câlins interrompus par ma fessée. — Tu es aussi docile que Marianne. C’est très bien. Je vais rester ce soir chez vous. Je passerai la nuit dans la chambre de ta mère et tu l’entendras aussi énoncer un à un les dix coups de cravache que je lui infligerai pour te punir de n’avoir pas été gentille plus vite. Après cela, tu devras nous rejoindre dans le lit de Marianne. Tu choisiras le prétexte que tu voudras, mais je te veux dans la chambre quand je lui ferai l’amour. Tu as bien tout compris ? — Ou… oui, monsieur. — C’est bien ! Tu peux te rhabiller avant qu’elle ne revienne. Je reviendrai pour le diner… tache d’être prêt, toi aussi ! — Prête… Monsieur ? — Oui ! Des bas et plus jamais de culotte en ma présence ! Et naturellement lisse comme un œuf. C’est bien entendu ? J’acquiesce les yeux baissés, je remets mes vêtements alors qu’il s’en va. Je n’y crois pas que je l’ai laissé faire ça ! Pas plus que je ne veux croire qu’il va revenir ce soir… et pourtant ! Une heure plus tard, maman est de retour. J’ai aussi un rendez-vous pour la semaine suivante chez la spécialiste. Elle est sautillante et joyeuse. — Je suis contente ! Tout est en ordre là-dedans et puis tu sais quoi… Bertrand vient à la maison ce ...
... soir… il nous emmène toutes les deux au restaurant ! C’est super n’est-ce pas ? Comment lui gâcher sa joie ? Je ne m’en sens pas le courage, elle qui a toujours tout fait pour que je sois bien. Alors je tais la visite de ce salaud alors qu’elle était absente et je repense à ses ordres. Je passe après maman dans la salle de bains. Lorsque j’en sors, mon sexe est aussi chauve qu’une boule de billard… je n’arrive pas à me comprendre toute seule, je suppose que personne ne peut le faire pour moi. Pour les bas… je dois puiser dans la réserve du dressing. J’y déniche des « dim-up » et ce seront bien ceux-là qui orneront mes gambettes pour la dinette en ville. — oooOOooo — Maman est sapée comme une princesse. Jupe noire relativement courte, chemisier blanc cintré dans le dos qui met en valeur deux seins dont les fraises marquent le tissu. Je n’ai plus à deviner ce qui se tient sous le pan de chiffon qui lui couvre tout juste les fesses. Elle s’est maquillée sans outrance et son gloss fait briller deux lèvres qu’elle garde constamment entrouvertes dans une sorte de sourire fou. Ses yeux aussi paraissent remplis d’étoiles, incrustées dans ses prunelles d’un vert limpide. Elle se tient assez droite sur son siège et j’en connais la raison. J’ai passé aussi une robe assez bien ficelée, mais j’ai gardé un soutien-gorge qui masque ma poitrine bien moins volumineuse que celle de ma mère. Je n’ai pas mis de culotte, puisque monsieur l’a demandé. Je ne suis pas très habituée aux bas ...