Une mère pas comme les autres... (5)
Datte: 10/02/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: AlexisPC, Source: Xstory
... valise et n’oublie pas ton maillot. Il fera chaud et nous pourrons profiter de la piscine si ma mère nous en laisse le temps et l’occasion.
— Vendu ! Me dit-elle en me souriant et en me prenant la main. Je t’aime, mon coeur.
J’adore l’entendre m’appeler ainsi et me dire ces trois mots magiques. Parce que l’on peut dire ce que l’on veut, les hommes aussi ont un côté romantique.
Nous quittâmes notre endroit de rencontre et je l’invitais à manger un morceau dans un restaurant italien qu’elle adorait. Je n’avais pas l’intention de rentrer chez moi avant un bon moment et je faisais traîner les choses.
Notre soirée se termina dans son appartement où nous avons fait l’amour durant un long moment. Sa fougue habituelle avait été remplacée par une fureur de baise. J’avais trouvé sa chatte trempée. Elle me donna comme explication qu’elle avait envie de moi depuis longtemps.
Je ne pus m’empêcher de penser que son état était surtout lié aux révélations de la soirée.
Je ne m’en plains pas, car je jouis, durant cette soirée, plusieurs fois. Elle avait le don de réveiller mon sexe fatigué et de lui rendre la force de se lancer dans une nouvelle joute. Par sa bouche merveilleuse, entre ses seins ou simplement en frottant lentement ses fesses sublimes contre le mât de mes envies. Nous expérimentâmes plusieurs positions, agréables ou nulles. Mais je retiendrai celle où je l’ai sodomisée, couché sur le dos, alors qu’elle se tenait accroupie sur mon sexe tout en se retenant de ...
... dos au bord de sa table, ses seins balançant au rythme de ses pénétrations juste sous mes yeux émerveillés.
Nous nous endormîmes éreintés mais heureux, sa tête placée sur mon torse et sa main enserrant mon sexe, rendu à une taille plus normale par la fatigue de nos nombreux duels amoureux.
En lui caressant le dos, j’entendis sa respiration se calmer et je sentis son corps peser un peu plus sur le mien.
Mais, alors que je sombrais à mon tour dans les bras de Morphée, Anaïs émit un petit gémissement. Il avait été discret car elle dormait vraiment et paisiblement, repue de ses multiples orgasmes et de ceux qu’elle m’avait octroyé avec un plaisir évident. Un peu trop, d’ailleurs, me dis-je alors que mes yeux se fermaient irrésistiblement.
Je me souviens que ma dernière pensée fut qu’il fallait que je réfléchisse à cela.
Mais ce n’est pas cette pensée qui me tira d’un seul coup d’un sommeil que j’appelais de tous mes voeux. Anaïs, prises dans ses limbes, venait de prononcer un mot.
Un seul !
L’entendre, couplé à ce gémissement, me tira définitivement des nimbes dans lesquelles pourtant je m’enfonçais pour me propulser dans un monde de doutes et d’interrogations sur ce que je venais de mettre en branle en adhérant à la requête de ma mère.
Je savais, en entendant Anaïs prononcé ce mot, que tout retour en arrière était désormais impossible. Elle s’y refuserait catégoriquement, malgré ses déclarations du début de soirée, pour aller au bout de sa curiosité et de ...