Une mère pas comme les autres... (5) - Histoires de Sexe

Une mère pas comme les autres... (5)

... idiote à mes yeux ? Anaïs, tu me navres !

— Philippe ! Arrête ton numéro ! Tu es trop intelligent pour te faire passer pour un con. Je sais que tu sais que je sais. Crache le morceau t’ai-je dit. Tu ne m’as pas tout raconté. Il y a un truc qui t’emmerde au possible et que tu n’oses pas m’avouer. Tout ce que tu viens de m’expliquer est certes inhabituel pour une mère et son fils mais j’ai fait ton éducation dans ce domaine. Tu peux encaisser bien plus qu’un fouet ou une collection de strings, fussent-ils à ta mère. Tu es au courant qu’elle porte des sous-vêtements féminins, tout de même ? Rassure-moi ? Alors arrête de jouer avec moi et déballe ton cadeau. Je ne suis pas connue pour ma patience lors des discussions qui tournent autour du pot.

Je la regardais en souriant. Elle était vraiment exceptionnelle. Qu’est-ce que j’aimais cette femme. Sa tirade combinée à des gestes un peu brusques des mains et des bras, avaient écartés les pans de son chemisier noir et je pouvais à présent allégrement profiter du spectacle de sa lingerie blanche rehaussant le galbe de sa merveilleuse poitrine.

Elle s’en aperçu. Elle reprit alors en refermant son chemisier

— Et arrête de profiter de la vue, vilain voyeur ! Explique-toi, sinon je te prive de tes jouets préférés pour un long moment.

La menace agit et je lui souris à nouveau avant de reprendre plus sérieusement

— Ok ! Je te dis le reste. Mais on va aller un peu plus loin que la relation normale entre une mère et son ...

... fils, je te préviens.

— Arrête de me mettre l’eau à la bouche avec tes sous-entendus graveleux ! Allez, s’il-te-plaît.

— Bien ! Allons-y !

Je lui avouais alors que la séance de ma mère en face de mon ordinateur avait eu une conséquence inattendue. Elle se recula sur la banquette lorsque je lui avouais que ma mère avait flashé littéralement sur elle et qu’elle voulait la rencontrer au plus vite dans le but avoué de la mettre dans son lit.

Je la rassurais en lui expliquant que je lui avais dit qu’elle n’était pas attirée par les femmes et que c’était peine perdue.

Lorsque je parlais de sa volonté de rencontrer également, plus normalement, ma copine avec qui je souhaitais officialiser, Anaïs se détendit un peu.

Enfin, lorsque je lui avouais qu’elle m’avait fait jouir en quelques minutes et qu’elle m’avait également proposé d’être présent lors de la séance qu’elle était certaine de remporter, Anaïs sourit.

— Cela te fait rire ?

— Terriblement ! Pour plusieurs raisons. Ta mère semble connaître les ficelles de la séduction et de l’excitation pour arriver à ce résultat avec son fils sans même le toucher. Ensuite, cela n’a pas dû te déplaire, cette idée. Si je me souviens bien, c’est l’un de tes fantasmes. Ta copine en train de baiser avec une femme sous tes yeux. Donc, oui, cela me fait rire.

— Heureux que cela t’amuse ! Tu n’imagines pas la honte que j’ai ressenti durant cette soirée.

— Si, je m’en doute, figure-toi ! Et je suis assez furieuse, ...