Plaisir en forêt.
Datte: 05/02/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... nuque. Encouragé, je la léchais plus intensément, mordillant son bouton du bout des dents.
Elle coulait de plus en plus. Un régal ! Et très vite, elle fut par la suite agitée de violentes convulsions, m‘inondant la bouche par vague, comme si elle me pissait dessus, alors qu‘elle ronronnait comme une chatte en chaleur.
J’attendis qu’elle se calme pour ramper jusqu’à elle, collant ma sur la sienne, pour un baiser que je nommerais vorace, animal. Mes doigts s’égarèrent vers le centre de ses fesses, là-même où la corolle encore plissée attendait quand s‘y attarde dessus. Au premier touché, le muscle se contractait spasmodiquement. Elle inspirait profondément et fit saillir les contours de son ouverture. Je grognais d’approbation, et retirais ma main pour la porter à mon nez. Une petite odeur de cul légèrement humide de sueur, affola mes papilles.
Je passais cette fois deux doigts lubrifiés de ma propre salive sur la corolle en poussant un peu, assez pour que le muscle cède facilement, jusqu’à la deuxième phalange. Elle poussait un petit cri, de douleur ou de surprise, je ne serais pour le dire, que j‘étouffais en collant ma bouche sur la sienne. En parfait amateur, je massais en profondeur son cul, écartant ses sphincters, les étirant dans les deux sens, jusqu’à ce que son anus bée. C‘était l‘instant que je choisis pour me libérer. Humidifier ma verge avec de ma propre salive.
Je pris tout le même le temps de me soulager de mon blouson. Que je posais à plat sur ...
... l’herbe, invitant Véronique à poser son fessier dessus. Une fois la position désirée, prise, je passais mes bras sous mes genoux, et lui relevaient les jambes jusqu’à pouvoir les poser en appui sur mes épaules. Je n‘avais plus qu‘à guider ma verge brillante de salive au contact de la cible. Et d’un coup de reins l’envahi. Se sentant investir dans le mauvais trou, de surprise elle ouvrait en grands, des yeux ronds, brillants. Dont je surpris des larmes s’en écouler, que je définirais d’excitation et de joies mêlées.
Dans un tourbillon de sensations qui m’électrocutait le système nerveux, je voyageais dans ses reins avec des mouvements lestes, nets et précis. Je profitais de cet instant de bonheur pour mettre à nu sa poitrine. Que je me mis à embrasser, à triturer les tétons. S’en suivit alors une longue et intense chevauchée. À grands coups de reins. Je lisais du bien être dans son regard.
J’étais à bout de souffle, quand enfin je sentis les premiers picotements avant-coureur d’une prochaine jouissance. Ma verge frémit puis tressauter dans le cul de Véronique. Après tant d’émotions et de plaisir cumulés, j’éjaculais dans un cri muet. Transpercé de toutes parts par des détonations énergétiques.
L’orgasme consommé, je m’effondrai sur elle, mon pénis toujours attelé dans son cul. Je l’embrassais à en perdre haleine.
Au bout d’un moment, son anus me rejetait instinctivement. Et cela ce fit dans un bruit liquide.
Nous nous regardions encore quelques instants, avant de nous ...