Plaisir en forêt.
Datte: 05/02/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... de lâcher :
- Ah ! Qu’est-ce que s’est-ce bruit ? J’ai peur, Alain !
- Ce n’est rien, idiote, sans doute des bestioles, la rassurais-je. Tu peux y aller, je fais le guet.
Enfin rassurée, elle s’accroupit au-dessus de l’herbe, qu’un mince rayon de soleil éclairait la nudité désolée de l’endroit. Où s’amassaient de mauvaises végétations à des feuilles.
- Tu regardes pas, hein ? Tu me le promets ? Me lança-t-elle, alors qu’elle cherchait prudemment l’équilibre idéal.
Une fois trouvée, je la vis, se relever sa jupe et écarter son manteau pour ne pas le tacher de pisse.
- Salaud, regarde pas ! S’écria-t-elle.
- Tu veux peut-être que je m’en aille ?
- Non… non reste. Fit-elle en jetant des regards inquiets autour d’elle.
Elle respirait très fort. Le slip aux genoux, se dandinant à croupetons jusqu’à ce qu’elle se stabilise, alors que moi de ma hauteur, je profitais de la situation pour assouvir mon voyeurisme. C’était une véritable passion chez moi, celle d’apercevoir des femmes accroupies soulageant leur vessie. D’avoir la chance de pouvoir fixer le jet jaillir de la fente. Une vision qui m’avait toujours obsédée.
Alors quand parvint à mes oreilles, le fracas du pipi de Véronique rebondissant sur les feuilles, je n’ai pu résister à la tentation de coller mon regard dessus. Et constater qu’elle n’avait pas plaisanté, elle avait effectivement un grand besoin de se soulager. À croire qu‘elle avait bu des litres d‘eau avant de prendre la ...
... route.
J’avais le regard comme aimanter sur les poils légers de la motte, et les grandes lèvres éclaboussées par les jet vigoureux de pipi. Et ça pissait, ça pissait, encore et encore. Ma queue au fond de mon slip, n’était plus qu’une barre cuisante. J’éprouvais une sensation de malaise continu qui inondait tout mon bas ventre, et cela jusqu’à dans ma gorge, et ça alors que plus bas le flot dru battait toujours le sol. Une vraie vache !
Une excitation des plus perverses me poussa à m’approcher, pour regarder de plus près le spectacle qui m‘était offert. Et ceci malgré son opposition. D’ailleurs elle ne tarda pas à protester.
- Non, non reste où tu es Alain s‘il te plaît.
Sans me préoccuper de ce qu’elle disait, je m’accroupis au contact de l’herbe grasse aux nombreux trèfles, qui constituaient une couche moelleuse, l’œil comme attiré par la chatte.
- J’ai honte. Fit Véronique, d’une voix pitoyable.
- Il n’y a pas de quoi ! Il n’y a rien de plus beau à voir pour moi, que ce que tu m‘offres là.
- Ça c’est toi qui le dis. Lâchait-elle.
Dans la position où se trouvait Véronique, il lui était impossible de faire quoi que ce soit sans se pisser dessus. Alors j’en profitais. Sachant bien, une fois n’est pas coutume, qu’une fois l’excitation envolée, je m’en voudrais à mort de ce que je venais de faire.
Mais mille fois hélas, c’était comme un démon qui me grouillait dans le bas ventre. Il fallait à tout pris que je regarde. Que je me gave l’esprit de ces nombreux clichés. ...