1. Plaisir en forêt.


    Datte: 05/02/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Les femmes qui font pipi, ça m’avait toujours attiré, et cela depuis mon plus jeune âge. Quand déjà à l’époque j’espionnais mes tantes en train de faire pipi en vacances à la ferme, dans un toilette de fortune en plein air. Écoutant avec délices le bruit que faisait l’urine en frappant l’eau de cuvette. Et sitôt qu’elles désertaient les lieux, je me précipitais dans le local pour humer les odeurs ammoniaquées qui aromatiser l‘endroit.
    
    - Non… non… Alain, arrête tes conneries ! Elle protesta toujours, mais cette fois-ci, d’une voix ensommeillée.
    
    Ses joues étaient écarlates et ses narines dilatées. Elle se mordit la lèvres, avec une lueur effronté dans son regard. Comme dans un état second, je m’inclinais, et cela suffisamment pour me permettre de toucher la chatte qui gouttait. Des insectes vrombissaient autour de nous. J’observais, fasciné, le manège contradictoire de la femme qui protestait tout en restant offerte. Je découvrais le pouvoir du plaisir.
    
    Je tendais ma main jusqu’à ce que mes doigts viennent au contact de son antre. La réaction de Véronique avait été de laisser échapper un bref rire énervé, mais aussi de se saisir le poignet et me supplia.
    
    - Arrête, pas ça. Ça me fait des choses. Ça me donne trop envie…
    
    - Ah oui ! Répondais-je, en attirant à moi ma main souillée de sa miction.
    
    Elle grimaça de dégoût en me voyant renifler mes doigts souillés de son pipi. Et que dire de plus, quand elle fut témoin du léchage de ma langue sur cette même ...
    ... main.
    
    - C’est dégueulasse. Fit-elle, dégoûtée, mais résignée à tout affronter.
    
    Véronique était comme hypnotisée par mon audace, alors que j’étais moi, dans mon élément. Après la dégustation, je décidais de m’occuper d’elle. Pour ce faire je la repoussais en arrière, doucement mais fermement, et cela jusqu’à ce qu’elle tombe à la renverse, les quatre fers en l‘air.
    
    Je profitais de sa détresse pour mettre la main dans le panier, et d’introduire un doigt dans son vagin que je fis tourner. Je remarquais que le clitoris de Véronique avait doublé de volume depuis que je l’avais aperçus pour la première fois, et qu’il dardait, violacé comme un gland minuscule. Je fis entrer et sortir mon doigt plusieurs fois à la suite, arrachant des gémissements croissants à ma victime. Le trou rouge du méat se dilatait à chaque branlage, alors que quelques gouttes s’y échappait encore par saccades.
    
    Grisés par mon audace et la passivité de Véronique, j’approchais mon visage de sa chatte. L’odeur épicée monta à mes narines. Loin de m’ écœurer, les parfums intimes de ma collègue m’excitaient. Je me rapprochais encore, jusqu‘à coller ma bouche sur son sexe. Une saveur forte et salée m’emplit la bouche. J’étais aux anges. Le goût des replis de la chatte m’excitait énormément. Elle jubilait sous ma caresse. J’aspirai la mouille dont la saveur douceâtre supplantait l’amertume de l’urine. Très vite sa respiration se fit plus rapide et plus rauque aussi, alors que sa main se faisait plus pesante sur ma ...