La tache
Datte: 04/02/2022,
Catégories:
fh,
poilu(e)s,
sales,
odeurs,
Oral
Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe
... tête pour que je continue. Bruits de succion obscènes. J’ose même dans un moment de folie mordiller son bouton, juste du bout des dents pour ne pas lui faire mal. La réaction ne se fait pas attendre, le même râle guttural que la première fois s’échappe de sa poitrine, réitérant ensuite à chaque coup de langue. Mais cette fois, elle n’en peut plus, elle me repousse sans ménagement et termine elle-même sa jouissance en se frottant la chatte à pleine main comme une possédée.
Ce pourrait être le calme après la tempête, mais non, elle en a décidé autrement, la voici qui se jette à nouveau sur ma queue pour me pomper avec appétit. Il ne me faut que quelques secondes pour redevenir parfaitement raide. Si elle continuait ainsi, la jouissance viendrait très vite, d’autant plus que la forêt qui dépasse sous ses aisselles m’excite un max.
— J’ai envie que tu me fourres, j’ai envie de ton gros machin en moi.
J’émets un « Tu as des préservatifs ? » qui pourrait casser l’ambiance. Personnellement, je suis venu sans, ne pensant pas que notre rencontre allait se terminer ainsi.
— Non, tant pis, pas grave, baise-moi sans ! Je suis saine et j’ai trop envie de ton jus de mâle en moi.
Me voici donc en train d’explorer l’origine de monde avec ma trique bien raide. Putain que cette chatte m’excite, elle est presque plus poilue que moi, même ses bras sont poilus, sans parler de ces touffes sous les aisselles. Je la pilonne ainsi un bon moment avant de la retourner et de la prendre à ...
... quatre pattes en claquant fermement son cul. Elle jouit une fois, deux fois, trois fois ! Bon Dieu qu’elle aime ça.
Alors je propose :
— J’aimerais que ce soit toi qui me finisses !
Je m’allonge sur le lit et lui demande de venir s’embrocher sur ma queue dressée. Elle me lime comme ça un long moment et jouit encore, semble-t-il. Ses va-et-vient experts qui, tout comme sa bouche auparavant, font lentement monter la pression en moi.
À la fin, je n’en peux pas, je sens que ça vient inexorablement. Je la préviens :
— Je vais jouiiiiiiiiir !
— Oui, remplis-moi, remplis ta grosse cochonne, donne-moi tout ton jus.
Alors j’explose en elle en longs jets de semence en grognant comme une bête tandis qu’elle continue les va-et-vient pour me soutirer jusqu’à la dernière goutte.
Plus tard, elle se désembroche de mon vit et tournant sa chatte vers moi me montre un filet de jus qui s’écoule de son con, elle le récupère avec son doigt et l’étale sur sa toison pubienne. Puis glissant à nouveau sa main dans sa vulve elle en récupère encore un peu avant de porter ses doigts à sa bouche et de les lécher. Elle déguste ma semence.
— Trop bon ton jus, trop bon comment tu baises, conclut-elle. Mais on va peut-être dormir quand même un peu.
Sur ce, elle se recouche et éteint la lumière.
— Et surtout si tu as encore envie cette nuit, réveille-moi, je ne demande que ça. Et tu pourrais même me prendre par les fesses, je sais que les hommes d’un certain âge adorent ça.
Me ...